Il faut remettre le couvert
Les Béarnais ont bien dîné puis bien dormi…Ce vendredi soir, c’était devenu une première nécessité pour une délégation parvenue à bon port avec près de 10 heures de retard et pour seule nourriture un petit déjeuner pris à 5 heures du matin dans leur hôtel de Kaunas…
Inutile de dire que samedi midi à l’heure où les siens rechaussaient les baskets, Gordon Herbert et Laurent Mopsus n’ont pas demander l’impossible à leur troupe. Ils ont surtout songé à soigner la récupération, celle là même qui avait bien évidemment sauté la veille.
« Il aurait été important de pouvoir courir un peu pour drainer les muscles engorgés après l’effort de la veille, une journée aussi statique que celle que les joueurs ont passé ce n’est jamais bon. Elle provoque une lassitude physique mais aussi mentale », notait Benoît Mahieu, le kiné-ostéo de l’Elan.
Deux nuits de sommeil auront-elles permis aux béarnais de recharger les accus et d’affronter le SLUC de Nancy avec des allures de vrai challenger ? La question mérite d’être posée, même si l’on sait que les épreuves sont souvent synonymes de solidarité et entraînent parfois des réactions surprenantes la dernière en date ayant été signée par Dijon qui, bloqué plus de 48 heures en Israel, est arrivé en véritable commando à Roanne, avant de s’y imposer (88-87)..
Rien n’est donc jamais écrit et c’est tant mieux car le défi qui attend l’Elan à Gentilly, ce dimanche après midi (coup d’envoi 15 heures), est des plus relevés face à un adversaire qui a fait de son palais des sports une citadelle pratiquement inviolable et qui promène cette saison encore une belle sérénité. Même si elle reste sur un échec face aux spécialistes des gros coups que sont devenus les parisiens, la formation Lorraine tient le haut du pavé et prépare désormais la semaine des As qu’elle accueille et dont elle sera, de ce fait, la grande favorite.
Il vaudrait donc mieux que la tempête, celle qui fut à l’origine de leurs soucis vendredi, bout sous les crânes béarnais pour déclencher un vent de révolte, à l’image de celui qui souffla en Lituanie lors de trente dernières minutes…
Tout en sachant qu’à jouer avec le feu, comme il l’ont fait toute la première période face à Kaunas, les béarnais risquent de se brûler et dans une salle comme celle de Nancy le risque est grand…
« Je crois hélas que c’est le lot de l’Elan cette saison que bien partir ou mal partir, de prendre de l’avance puis de se laisser déborder, ou de se lancer dans une course poursuite. Si nous pouvions réussir un coup à Nancy, on marquerait enfin les esprits » disait Fred Fauthoux dans les vestiaires Lituaniens jeudi soir, pour analyser ce comportement des siens dont on a encore du mal à savoir quelle est leur vraie nature…
Même si aux côtés des bourdes qui leur valent d’être toujours négatif en championnat (6 victoires pour 7 défaites), ils ont également répondu présent lorsque le gros danger planait…
Les succès à Villeurbanne et face au Mans témoignent ainsi d’un niveau de concentration égal à celui que l’Elan déploie en Euroligue, là où il affiche un compte créditeur à mi-parcours (4 succès, pour 3 échecs)… Or Gordon Herbert l’a déclaré aux journalistes de l’Est Républicain, ce Nancy-Elan est un « vrai match d’Euroligue ».
Le coach attend donc des siens qu’ils affichent la même volonté défensive, le même état d’esprit, la même envie de s’investir, qu’en Lituanie… lors des 30 dernières minutes.
C’est la condition sine qua nun à envisager une bonne tenue des béarnais en terrain lorrain, puisque s’amuser à vouloir rivaliser avec la meilleure attaque du championnat reviendrait à courir au suicide…
Mais de quel bois sera fait l’Elan ce dimanche après midi… Personne ne le sait, peut-être même pas lui… Et ce n’est pas les conditions de son retour qui permettent de désépaissir le mystère…
Source: (http://www.elan-bearnais.fr/)
[ProA 14ème journée] Nancy - Pau-Orthez
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corpus christi
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Jeudi ça fera 15 jours... donc je me disais que, peut être, la blessure avait guéri un tit peu plus viteKINDER64 a écrit :Non, il me semble que c'était 15 jours donc ni pour Barcelone, ni pour Dijon. Enfin d'après mes savants calculs ...Gio a écrit :Rien à voir mais, il revient contre le Barça CC ?
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philip_pau
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[updown][center]PRO A : SAISON 2006/2007[/center][/updown]
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[updown][center]PRO A : SAISON 2006/2007[/center][/updown]
[center]14eme JOURNEE : Match ALLER[/center]
SLUC NANCY
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[right]
EB PAU-ORTHEZ[/right]
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" Nancy (10-3) – Pau-Orthez (6-7), en direct sur TPS Star "
Cyril Julian, MVP français de la saison, va retrouver l’Élan Béarnais, une motivation supplémentaire pour l’ancien international qui va croiser l’imposant Michael Wright. Le nouveau meneur nancéien, Branko Milisavljevic fera ses débuts en Pro A face à la défense oppressante de Xane D’Almeida.
(Source : http://www.lnb.fr)
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" SLUC / EB PAU-ORTHEZ "
Nancy accueille Pau-Orthez avec l'espoir de recoller à Chalon-sur-Saône, et l'ASVEL se déplace à Clermont mercredi.
(Source : http://www.lequipe.fr)
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" Pour confirmation "
Dimanche après-midi, Pau-Orthez tentera de confirmer son rétablissement à Nancy.
Le choc de la journée
Moribond en championnat, surexcité en Euroligue, c’est le quotidien de Pau-Orthez cette année, capable de gagner sur le parquet de Naples comme de s’incliner à Hyères-Toulon. Les Béarnais ont livré une nouvelle version de leur Docteur Jekyll européen et Mister Hyde national dans la semaine en arrachant la victoire à Kaunas après deux prolongations (106-110) et l’effacement d’un débours de 15 points. Mais l’enivrant parfum européen a souvent de mauvais relents en Pro A. Relâchement, baisse de motivation, manque de prestige. «Il y a aussi le fait que les équipes se mettent parfois au niveau des adversaires qu'elles rencontrent», argumente Ricky Soliver dans L’Est Républicain. Car les Nancéiens n’oublient pas que les Palois se sont imposés cette saison face au Mans et à l’ASVEL. C’est donc l’équipe d’Euroligue que les Couguars se préparent à affronter dimanche au Palais des Sports Jean-Weille. L’Europe, c’est aussi ce qui a permis au SLUC de retrouver un visage un peu plus souriant mardi soir. Peu satisfait de l’état d’esprit affiché par ses troupes la semaine passée à Paris (défaite 66-63), Jean-Luc Monschau a pu être rassuré par la victoire de ses joueurs en Coupe ULEB face aux Allemands de Bamberg (93-83). Dominés dans les trois premiers quarts-temps, les Couguars n’ont cette fois-ci pas lâché. Rassuré, Cédrick Banks l’est aussi puisque l’Américain, annoncé forfait, a compilé 23 points mardi soir. Autre motif de satisfaction, le remplaçant de John Linehan, Branko Milisavljevic, a fait bonne impression en scorant 15 unités. Cela tombe bien, le meneur serbe sera qualifié pour la venue de Pau-Orthez.
(Source : http://www.sport24.com)
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" Gala en Lorraine "
- Nancy : LE MENEUR ARRIERE SERBE, BRANKO MILISAVLJEVIC, fera ses débuts en Pro A cet après-midi face à Pau, une rencontre majeure du Championnat. Auteur d'un premier match probant, mardi en Coupe ULEB face à Bamberg (15 pts, 2 passes en dix-uit minutes), l'ex-Limougeaud aura pour mission de remettre le SLUC Nancy , au complet, dans le bon sillon après le revers concédé à Paris la semaine passée.
- Pau-Orthez : Derrière son succès à Kaunas jeudi soir, Pau a débarqué en Lorraine sans repasser par la case Béarn, après un voyage assez venteux. A la suite de la tempête qui a soufflé vendredi sur Paris, les Palois ont décollé avec quatre heures de retard et ont dû atterrir à Strasbourg, avant de faire le trasnfert vers Nancy, ou ils sont arrivéd vendredi soir....à 22 heures. Par ailleurs, Ludovic Vaty est venu étoffer le groupe palois pour cette rencontre.
(Source : L'EQUIPE)
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" Dimanche comme jeudi ? "
NANCY-PAU-ORTHEZ. Brillants en Euroligue (3e de leur poule derrière Moscou et Barcelone), les Palois sont en retard en championnat. Seront-ils capables de le combler cet après-midi chez le leader ?
PRO A (14e JOURNEE)
Docteur Euroligue et mister Pro A. Depuis le début de la saison, les Palois ont pris l'habitude de montrer deux visages bien différents dans la même semaine. Capables d'infliger sa première défaite au champion d'Europe Moscou, d'aller arracher des victoires avec les dents à Istanbul, Naples et Kaunas, ils peuvent aussi se prendre les pieds dans le tapis du championnat le week-end venu.
Plus étonnant, ils affichent cette même versatilité dans le même match, comme jeudi en Lituanie où ils ont compté jusqu'à 15 points de retard en première mi-temps avant de s'imposer à l'issue de la deuxième prolongation (110-106).
« C'est difficile à expliquer », tentait de comprendre le pivot Michael Wright, la force tranquille de cette équipe, qui se prépare à livrer un duel de poids lourds aujourd'hui face à Cyril Julian. « A Kaunas, après la mi-temps, l'équipe a vraiment voulu gagner et a réussi une grande fin de match. C'est une question de concentration. Quand chacun donne le meilleur de soi pour l'équipe, on est très difficile à battre ».
Aaron Miles. Dans un match d'intensité européenne, les Béarnais pourront compter sur leur meneur, auteur de son meilleur match jeudi contre Kaunas.
Question de concentration. La question est maintenant de savoir si Pau-Orthez, en très bonne position (3e) pour la qualification au Top 16 de l'Euroligue à mi-parcours, saura montrer sa meilleure facette cet après-midi à Nancy qu'il a rejoint directement vendredi de Kaunas après un long voyage (1) .
Il vaudrait mieux car c'est un match d'intensité européenne qui attend l'Elan chez le leader. Cédric Ferchaud, titularisé pour la première fois en Euroligue jeudi, prévient : « Si on reproduit la même très mauvaise entame qu'à Kaunas et qu'on laisse Nancy s'enflammer, on risque d'en prendre 30. Il faudra donc être très vigilant et reproduire notre deuxième mi-temps de jeudi dès le début. »
« Si on met de l'intensité dans notre jeu, on est capable de faire douter n'importe quelle équipe », confirme le capitaine Frédéric Fauthoux qui note au passage que son équipe vient de s'imposer deux fois consécutivement (Besançon et Kaunas) sans CC Harrison (entorse du genou), l'un de ses leaders: « La preuve que cette équipe a des ressources ».
Elle ferait bien de le confirmer cet après-midi dans la salle Gentilly de Nancy, l'une des plus chaudes de France. A quatre journées de la fin des matches aller, l'Elan Béarnais n'a plus de temps à perdre s'il veut revenir à Nancy dans deux mois disputer la Semaine des As (2) .
En plus du bénéfice comptable, une victoire en Lorraine, où il s'est imposé l'an dernier, aurait un autre avantage selon Fauthoux : « Si on y gagne, on marquera les esprits en Pro A comme on a su le faire en Euroligue. »
(1) Partis bien avant l'aube de Kaunas, les Palois sont restés bloqués par la tempête à Orly hier après-midi avant de rejoindre Nancy tard dans la soirée.
(2) La Semaine des As réunira du 8 au 11 février les huit meilleures équipes de Pro A à l'issue des matches aller. Le programme de l'Elan jusque-là : déplacements à Nancy et Cholet (samedi 6 janvier), réceptions de Dijon (dimanche 17 décembre) et Chalon (dimanche 14 janvier).
(Source : http://www.sudouest.com)
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" Il faut remettre le couvert "
Les Béarnais ont bien dîné puis bien dormi…Ce vendredi soir, c’était devenu une première nécessité pour une délégation parvenue à bon port avec près de 10 heures de retard et pour seule nourriture un petit déjeuner pris à 5 heures du matin dans leur hôtel de Kaunas…
Inutile de dire que samedi midi à l’heure où les siens rechaussaient les baskets, Gordon Herbert et Laurent Mopsus n’ont pas demander l’impossible à leur troupe. Ils ont surtout songé à soigner la récupération, celle là même qui avait bien évidemment sauté la veille.
« Il aurait été important de pouvoir courir un peu pour drainer les muscles engorgés après l’effort de la veille, une journée aussi statique que celle que les joueurs ont passé ce n’est jamais bon. Elle provoque une lassitude physique mais aussi mentale », notait Benoît Mahieu, le kiné-ostéo de l’Elan.
Deux nuits de sommeil auront-elles permis aux béarnais de recharger les accus et d’affronter le SLUC de Nancy avec des allures de vrai challenger ? La question mérite d’être posée, même si l’on sait que les épreuves sont souvent synonymes de solidarité et entraînent parfois des réactions surprenantes la dernière en date ayant été signée par Dijon qui, bloqué plus de 48 heures en Israel, est arrivé en véritable commando à Roanne, avant de s’y imposer (88-87)..
Rien n’est donc jamais écrit et c’est tant mieux car le défi qui attend l’Elan à Gentilly, ce dimanche après midi (coup d’envoi 15 heures), est des plus relevés face à un adversaire qui a fait de son palais des sports une citadelle pratiquement inviolable et qui promène cette saison encore une belle sérénité. Même si elle reste sur un échec face aux spécialistes des gros coups que sont devenus les parisiens, la formation Lorraine tient le haut du pavé et prépare désormais la semaine des As qu’elle accueille et dont elle sera, de ce fait, la grande favorite.
Il vaudrait donc mieux que la tempête, celle qui fut à l’origine de leurs soucis vendredi, bout sous les crânes béarnais pour déclencher un vent de révolte, à l’image de celui qui souffla en Lituanie lors de trente dernières minutes…
Tout en sachant qu’à jouer avec le feu, comme il l’ont fait toute la première période face à Kaunas, les béarnais risquent de se brûler et dans une salle comme celle de Nancy le risque est grand…
« Je crois hélas que c’est le lot de l’Elan cette saison que bien partir ou mal partir, de prendre de l’avance puis de se laisser déborder, ou de se lancer dans une course poursuite. Si nous pouvions réussir un coup à Nancy, on marquerait enfin les esprits » disait Fred Fauthoux dans les vestiaires Lituaniens jeudi soir, pour analyser ce comportement des siens dont on a encore du mal à savoir quelle est leur vraie nature…
Même si aux côtés des bourdes qui leur valent d’être toujours négatif en championnat (6 victoires pour 7 défaites), ils ont également répondu présent lorsque le gros danger planait…
Les succès à Villeurbanne et face au Mans témoignent ainsi d’un niveau de concentration égal à celui que l’Elan déploie en Euroligue, là où il affiche un compte créditeur à mi-parcours (4 succès, pour 3 échecs)… Or Gordon Herbert l’a déclaré aux journalistes de l’Est Républicain, ce Nancy-Elan est un « vrai match d’Euroligue ».
Le coach attend donc des siens qu’ils affichent la même volonté défensive, le même état d’esprit, la même envie de s’investir, qu’en Lituanie… lors des 30 dernières minutes.
C’est la condition sine qua nun à envisager une bonne tenue des béarnais en terrain lorrain, puisque s’amuser à vouloir rivaliser avec la meilleure attaque du championnat reviendrait à courir au suicide…
Mais de quel bois sera fait l’Elan ce dimanche après midi… Personne ne le sait, peut-être même pas lui… Et ce n’est pas les conditions de son retour qui permettent de désépaissir le mystère…
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES
" Le bonheur est sur la route "
C'est loin du béarn que l'Elan construit son avenir européen. A méditer aujourd'hui chez le coleader de Pro A.
Déjà quatre victoires au compteur, dont trois levées à l'extérieur : l'Elan n'est jamais apparu autant à son avantage parès deux mois de compétition européenne.
La situation de cette équipe qui trouve son bonheur en déplacement est d'autant plus enviable que la phase retour d'Euroligue lui proposera, début 2007, quatre rencontres au Palais face à tous ses rivaux directs. De quoi envisager sérieusement, deux ans après sa dernière participation, un retour dans le Top 16 continental inscrit au tableau des objectifs par Gordon Herbert dès se prise de fonction.
Hier, malgrè un réveil bien avant l'aube (4h du matin), de larges sourires restaient donc accrocher sur toutes les lèvres de la délégation béarnaise, heureuse d'être une nouvelle fois sortie indemne des 10 minutes supplémentaires disputées au terme d'un match complètement fou (110-106).
" Après avoir vraiment mal débuté, on a su revenir grâce à une bonne défense, puis, peu à peu, faire douter les Lituaniens avant de leur mettre la tête dans le sceau en prolongations ", apprécie encore Cédric Ferchaud, à l'unison de ses camarades emmenés jeudi soir par l'explosif Mike Bauer (25 pts à 90% de réussite) et un Michael Wright imperturbable (30 pts, 8/8 aux lancers) dans les moments clés.
[center]" On risque d'en prendre 30 ! "[/center]
Aux yeux de l'ancien Choletais, ce résultat majeur s'inscrit pleinement dans la lignée du début de saison des Palois. " C'est une rencontre vraiment à notre image, avec deux visages très différents dans la même partie ", relève Ferchaud. " Mais dimanche à Nancy, nous n'aurons pas intérêt à reproduire le même début de match. Il faudra être intenses d'entrée, se montrer plus vigilants, sinon on risque d'en prendre 30 ! ".
Même son de cloche auprès de Freddy Fauthoux qui a appris à se méfier de l'euphorie des lendemains de victoires en terre étrangère. " Gare car le SLUC est en confiance ! Après deux finales perdues, cette équipe , bâtie par petites touches, arrive maintenant à maturité ", prévient le capitaine avant d'aller défier dans son antre le coleader national.
" Maintenant, l'objectif est de marquer les esprits de nos adversaires de Pro A autant que nous y parvenons en Euroligue ", ajoute Freddy, lequel a apprécié jeudi soir " le gros travail d'usure mené par tout un collectif " et la capacité de l'Elan " à montrer ses ressources en s'imposant une seconde fois à l'extérieur sans CC Harrison (blessé) ".
[center]" Le temps est compté "[/center]
L'arrière américain, attendu peut-être en fin de semaine prochaine, fera encore défaut demain dans la difficile salle Gentilly ou l'Elan entamera une série de quatre rencontres déterminantes (1) dans l'optique d'une participation à la Semaine des As organisée justement à Nancy en février. Par la faute d'un bilan toujours négatif (6 victoires - 7 défaites) moins d'un mois avant la distribution des billets, le temps est désormais compté pour les Béarnais.
Ils accusent à ce jour un succès de retard sur les derniers clubs qualifiables, à savoir le tandem composé du Havre et des Dijonnais attendus dans 8 jours au Palais des Sports et se montrent beaucoup moins prolifiques loin de leurs bases , en Pro A, que sur le front européen. " Mais, maintenant, c'est terminé " , assure Fauthoux. " Pour nous, pour notre public aussi, on se doit de confirmer à la maison ce que nous réussissons en voyage ".
Cette belle déclaration d'intention , déjà entendue, n'autorisera pas pour autant l'Elan à montrer son mauvais profil demain après-midi.
" Nancy a tout pour plaire "
Double finaliste sortant, le SLUC présente un effectif très complet.
" Il n'y pas d elimite à ce que cette équipe peut faire ! " Le vieux grognard Jean-Luc Monschau, que l'on a connu plus prudent, ne tarit guère d'éloges sur son groupe.
Il est vrai que le SLUC , réfugié derrière la meilleure défense du championnat (70 pts de moyenne) et toujours coleader malgrè son récent revers à Paris, se révèle particulièrement impressionnant.
omniprésent au plus haut niveau national depuis deux ans ( 1 Semaine des As, vainqueur de la saison régulière 2006 et deux finales du play-off), le club lorrain, avec 3,4 millions de budget, n'a pas lésiné sur les moyens pour garder son statut. " Nous en sommes désormais au stade ou on essaie de choisir nos joueurs, histoire de maintenir un style, de garder une identité ", confirme l'entraîneur lorrain qui, de la Coupe ULEB au titre de Pro A, ne s'interdit aucun objectif.
" Lidée principale est bien sûr de revenir à Bercy ", reprend Monschau " en espérant que, cette fois, la troisième finale sera la bonne car, au printemps dernier, il ne nous a manqué que 4 minutes pour battre Le Mans. Mais, en février, on organise aussi la Semaine des As et c'est un évènement pour nous ". Un bon parcours en coupe d'Europe ULEB, ou les Nancéens vont sortir par le haut malgrè une phase de poule difficile, fait également partie des objectifs déclarés.
[center]" Revenir à Bercy "[/center]
Pour tenir le choc sur tous ces tableaux, l'adversaire de l'Elan s'est d'abord appliqué à conserver son ossature de 'lan passé.
Six joueurs, dont Julian (le premier rebondeur de la division) et Zianveni, ont donc été resignés avec dans le lot l'ailier Tarik Kirskay désormais titulaire d'un passeport français. " Afin de les entourer, on a cherché ensuite des gars qui mouillent le maillot mais aussi prêt à se battre pour défendre l'idée d'un jeu rapide et collectif ", explique Jean-Luc Monshau.
D'ou les arrivées de l'arrière Cédric Banks, MVP de Pro B avec Besançon, du meneur universitaire Soliver, de l'intérieur parisien Samnick longtemps annoncé à pau, et surtout de la sangsue John Linhean, capable de faire déjouer n'importe quel meneur. Mais , out pour la saison, il a dû être (avantageusement) remplacé par le Serbe Milisavljevic déjà efficace (15 points) lors de ses débuts mardi face aux Allemands de Bamberg.
Nancy a indéniablement tout pour plaire. Reste à séduire Bercy.
(Source : La République des Pyrénées)
Au Palais des Sports Jean Weille, cet après-midi :
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A 15h,NANCY vs ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ [/center] [/updown]
Le match pourra également être suivi sur le live de la Ligue, via son site internet http://www.lnb.fr et à la radio, sur le net, avec France Bleu Béarn sur http://www.tv-radio.com/player/mini.php ... &RM=1&QT=1
SLUC NANCY : 4. C.BANKS (US, 1,90m), 6. N'JOYA (CAM, 1,88m), 7. C.JULIAN (FR, 2,06m), 8. D.MACLINTOCK (US, 2,12m), 9. R.SOLIVER (US, 1,90m), 10. M.ZIANVENI (FR, 1,98m), 11. A.SALMON (FR, 2,03m), 13. V.SAMNICK (FR, 2,03m), 14. D.HAYES (US/FR, 1,96m), 15. T.KIRKSKAY (US/FR, 1,98m), 16. A.ZAKI (NIG, 2,16m), 17. B.MILISAVLJEVIC (SER, 1,93m).
Entraîneur : Mr J.L MONSCHAU (FR).
ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ : 4. F.FAUTHOUX (FR, 1,80m), 6. X.D'ALMEIDA (FR, 1,83m), 7. R.GREER (DOM 1,96m), 8. B.JOHNSEN (US, 2,06m), 9. C.FERCHAUD (FR, 1,96m), 11. A.MILES (US, 1,86m), 12. T.RUPERT (FR, 2m), 13. A.AJINCA (FR, 2,13m), 14. I.MAHINMI (FR, 2,06m), 15. M.BAUER (US, 2,03m), 16. L.VATY (FR, 2,05m), 18. M.WRIGHT (US, 2,03m).
Entraîneur : Mr G.HERBERT(CAN)
[/center][updown][center]PRO A : SAISON 2006/2007
[/center][/updown][scroll][center]
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PRO A : SAISON 2006/2007[/center][/updown][center]14eme JOURNEE : Match ALLER[/center]
SLUC NANCY[center]/[/center]
[right]
EB PAU-ORTHEZ[/right][center]
[/center]" Nancy (10-3) – Pau-Orthez (6-7), en direct sur TPS Star "
Cyril Julian, MVP français de la saison, va retrouver l’Élan Béarnais, une motivation supplémentaire pour l’ancien international qui va croiser l’imposant Michael Wright. Le nouveau meneur nancéien, Branko Milisavljevic fera ses débuts en Pro A face à la défense oppressante de Xane D’Almeida.
(Source : http://www.lnb.fr)
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[/center]" SLUC / EB PAU-ORTHEZ "
Nancy accueille Pau-Orthez avec l'espoir de recoller à Chalon-sur-Saône, et l'ASVEL se déplace à Clermont mercredi.
(Source : http://www.lequipe.fr)
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Dimanche après-midi, Pau-Orthez tentera de confirmer son rétablissement à Nancy.
Le choc de la journée
Moribond en championnat, surexcité en Euroligue, c’est le quotidien de Pau-Orthez cette année, capable de gagner sur le parquet de Naples comme de s’incliner à Hyères-Toulon. Les Béarnais ont livré une nouvelle version de leur Docteur Jekyll européen et Mister Hyde national dans la semaine en arrachant la victoire à Kaunas après deux prolongations (106-110) et l’effacement d’un débours de 15 points. Mais l’enivrant parfum européen a souvent de mauvais relents en Pro A. Relâchement, baisse de motivation, manque de prestige. «Il y a aussi le fait que les équipes se mettent parfois au niveau des adversaires qu'elles rencontrent», argumente Ricky Soliver dans L’Est Républicain. Car les Nancéiens n’oublient pas que les Palois se sont imposés cette saison face au Mans et à l’ASVEL. C’est donc l’équipe d’Euroligue que les Couguars se préparent à affronter dimanche au Palais des Sports Jean-Weille. L’Europe, c’est aussi ce qui a permis au SLUC de retrouver un visage un peu plus souriant mardi soir. Peu satisfait de l’état d’esprit affiché par ses troupes la semaine passée à Paris (défaite 66-63), Jean-Luc Monschau a pu être rassuré par la victoire de ses joueurs en Coupe ULEB face aux Allemands de Bamberg (93-83). Dominés dans les trois premiers quarts-temps, les Couguars n’ont cette fois-ci pas lâché. Rassuré, Cédrick Banks l’est aussi puisque l’Américain, annoncé forfait, a compilé 23 points mardi soir. Autre motif de satisfaction, le remplaçant de John Linehan, Branko Milisavljevic, a fait bonne impression en scorant 15 unités. Cela tombe bien, le meneur serbe sera qualifié pour la venue de Pau-Orthez.
(Source : http://www.sport24.com)
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[/center]" Gala en Lorraine "
- Nancy : LE MENEUR ARRIERE SERBE, BRANKO MILISAVLJEVIC, fera ses débuts en Pro A cet après-midi face à Pau, une rencontre majeure du Championnat. Auteur d'un premier match probant, mardi en Coupe ULEB face à Bamberg (15 pts, 2 passes en dix-uit minutes), l'ex-Limougeaud aura pour mission de remettre le SLUC Nancy , au complet, dans le bon sillon après le revers concédé à Paris la semaine passée.
- Pau-Orthez : Derrière son succès à Kaunas jeudi soir, Pau a débarqué en Lorraine sans repasser par la case Béarn, après un voyage assez venteux. A la suite de la tempête qui a soufflé vendredi sur Paris, les Palois ont décollé avec quatre heures de retard et ont dû atterrir à Strasbourg, avant de faire le trasnfert vers Nancy, ou ils sont arrivéd vendredi soir....à 22 heures. Par ailleurs, Ludovic Vaty est venu étoffer le groupe palois pour cette rencontre.
(Source : L'EQUIPE)
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NANCY-PAU-ORTHEZ. Brillants en Euroligue (3e de leur poule derrière Moscou et Barcelone), les Palois sont en retard en championnat. Seront-ils capables de le combler cet après-midi chez le leader ?
PRO A (14e JOURNEE)
Docteur Euroligue et mister Pro A. Depuis le début de la saison, les Palois ont pris l'habitude de montrer deux visages bien différents dans la même semaine. Capables d'infliger sa première défaite au champion d'Europe Moscou, d'aller arracher des victoires avec les dents à Istanbul, Naples et Kaunas, ils peuvent aussi se prendre les pieds dans le tapis du championnat le week-end venu.
Plus étonnant, ils affichent cette même versatilité dans le même match, comme jeudi en Lituanie où ils ont compté jusqu'à 15 points de retard en première mi-temps avant de s'imposer à l'issue de la deuxième prolongation (110-106).
« C'est difficile à expliquer », tentait de comprendre le pivot Michael Wright, la force tranquille de cette équipe, qui se prépare à livrer un duel de poids lourds aujourd'hui face à Cyril Julian. « A Kaunas, après la mi-temps, l'équipe a vraiment voulu gagner et a réussi une grande fin de match. C'est une question de concentration. Quand chacun donne le meilleur de soi pour l'équipe, on est très difficile à battre ».
Aaron Miles. Dans un match d'intensité européenne, les Béarnais pourront compter sur leur meneur, auteur de son meilleur match jeudi contre Kaunas.
Question de concentration. La question est maintenant de savoir si Pau-Orthez, en très bonne position (3e) pour la qualification au Top 16 de l'Euroligue à mi-parcours, saura montrer sa meilleure facette cet après-midi à Nancy qu'il a rejoint directement vendredi de Kaunas après un long voyage (1) .
Il vaudrait mieux car c'est un match d'intensité européenne qui attend l'Elan chez le leader. Cédric Ferchaud, titularisé pour la première fois en Euroligue jeudi, prévient : « Si on reproduit la même très mauvaise entame qu'à Kaunas et qu'on laisse Nancy s'enflammer, on risque d'en prendre 30. Il faudra donc être très vigilant et reproduire notre deuxième mi-temps de jeudi dès le début. »
« Si on met de l'intensité dans notre jeu, on est capable de faire douter n'importe quelle équipe », confirme le capitaine Frédéric Fauthoux qui note au passage que son équipe vient de s'imposer deux fois consécutivement (Besançon et Kaunas) sans CC Harrison (entorse du genou), l'un de ses leaders: « La preuve que cette équipe a des ressources ».
Elle ferait bien de le confirmer cet après-midi dans la salle Gentilly de Nancy, l'une des plus chaudes de France. A quatre journées de la fin des matches aller, l'Elan Béarnais n'a plus de temps à perdre s'il veut revenir à Nancy dans deux mois disputer la Semaine des As (2) .
En plus du bénéfice comptable, une victoire en Lorraine, où il s'est imposé l'an dernier, aurait un autre avantage selon Fauthoux : « Si on y gagne, on marquera les esprits en Pro A comme on a su le faire en Euroligue. »
(1) Partis bien avant l'aube de Kaunas, les Palois sont restés bloqués par la tempête à Orly hier après-midi avant de rejoindre Nancy tard dans la soirée.
(2) La Semaine des As réunira du 8 au 11 février les huit meilleures équipes de Pro A à l'issue des matches aller. Le programme de l'Elan jusque-là : déplacements à Nancy et Cholet (samedi 6 janvier), réceptions de Dijon (dimanche 17 décembre) et Chalon (dimanche 14 janvier).
(Source : http://www.sudouest.com)
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[/center]" Il faut remettre le couvert "
Les Béarnais ont bien dîné puis bien dormi…Ce vendredi soir, c’était devenu une première nécessité pour une délégation parvenue à bon port avec près de 10 heures de retard et pour seule nourriture un petit déjeuner pris à 5 heures du matin dans leur hôtel de Kaunas…
Inutile de dire que samedi midi à l’heure où les siens rechaussaient les baskets, Gordon Herbert et Laurent Mopsus n’ont pas demander l’impossible à leur troupe. Ils ont surtout songé à soigner la récupération, celle là même qui avait bien évidemment sauté la veille.
« Il aurait été important de pouvoir courir un peu pour drainer les muscles engorgés après l’effort de la veille, une journée aussi statique que celle que les joueurs ont passé ce n’est jamais bon. Elle provoque une lassitude physique mais aussi mentale », notait Benoît Mahieu, le kiné-ostéo de l’Elan.
Deux nuits de sommeil auront-elles permis aux béarnais de recharger les accus et d’affronter le SLUC de Nancy avec des allures de vrai challenger ? La question mérite d’être posée, même si l’on sait que les épreuves sont souvent synonymes de solidarité et entraînent parfois des réactions surprenantes la dernière en date ayant été signée par Dijon qui, bloqué plus de 48 heures en Israel, est arrivé en véritable commando à Roanne, avant de s’y imposer (88-87)..
Rien n’est donc jamais écrit et c’est tant mieux car le défi qui attend l’Elan à Gentilly, ce dimanche après midi (coup d’envoi 15 heures), est des plus relevés face à un adversaire qui a fait de son palais des sports une citadelle pratiquement inviolable et qui promène cette saison encore une belle sérénité. Même si elle reste sur un échec face aux spécialistes des gros coups que sont devenus les parisiens, la formation Lorraine tient le haut du pavé et prépare désormais la semaine des As qu’elle accueille et dont elle sera, de ce fait, la grande favorite.
Il vaudrait donc mieux que la tempête, celle qui fut à l’origine de leurs soucis vendredi, bout sous les crânes béarnais pour déclencher un vent de révolte, à l’image de celui qui souffla en Lituanie lors de trente dernières minutes…
Tout en sachant qu’à jouer avec le feu, comme il l’ont fait toute la première période face à Kaunas, les béarnais risquent de se brûler et dans une salle comme celle de Nancy le risque est grand…
« Je crois hélas que c’est le lot de l’Elan cette saison que bien partir ou mal partir, de prendre de l’avance puis de se laisser déborder, ou de se lancer dans une course poursuite. Si nous pouvions réussir un coup à Nancy, on marquerait enfin les esprits » disait Fred Fauthoux dans les vestiaires Lituaniens jeudi soir, pour analyser ce comportement des siens dont on a encore du mal à savoir quelle est leur vraie nature…
Même si aux côtés des bourdes qui leur valent d’être toujours négatif en championnat (6 victoires pour 7 défaites), ils ont également répondu présent lorsque le gros danger planait…
Les succès à Villeurbanne et face au Mans témoignent ainsi d’un niveau de concentration égal à celui que l’Elan déploie en Euroligue, là où il affiche un compte créditeur à mi-parcours (4 succès, pour 3 échecs)… Or Gordon Herbert l’a déclaré aux journalistes de l’Est Républicain, ce Nancy-Elan est un « vrai match d’Euroligue ».
Le coach attend donc des siens qu’ils affichent la même volonté défensive, le même état d’esprit, la même envie de s’investir, qu’en Lituanie… lors des 30 dernières minutes.
C’est la condition sine qua nun à envisager une bonne tenue des béarnais en terrain lorrain, puisque s’amuser à vouloir rivaliser avec la meilleure attaque du championnat reviendrait à courir au suicide…
Mais de quel bois sera fait l’Elan ce dimanche après midi… Personne ne le sait, peut-être même pas lui… Et ce n’est pas les conditions de son retour qui permettent de désépaissir le mystère…
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
LA REPUBLIQUE DES PYRENEES
" Le bonheur est sur la route "
C'est loin du béarn que l'Elan construit son avenir européen. A méditer aujourd'hui chez le coleader de Pro A.
Déjà quatre victoires au compteur, dont trois levées à l'extérieur : l'Elan n'est jamais apparu autant à son avantage parès deux mois de compétition européenne.
La situation de cette équipe qui trouve son bonheur en déplacement est d'autant plus enviable que la phase retour d'Euroligue lui proposera, début 2007, quatre rencontres au Palais face à tous ses rivaux directs. De quoi envisager sérieusement, deux ans après sa dernière participation, un retour dans le Top 16 continental inscrit au tableau des objectifs par Gordon Herbert dès se prise de fonction.
Hier, malgrè un réveil bien avant l'aube (4h du matin), de larges sourires restaient donc accrocher sur toutes les lèvres de la délégation béarnaise, heureuse d'être une nouvelle fois sortie indemne des 10 minutes supplémentaires disputées au terme d'un match complètement fou (110-106).
" Après avoir vraiment mal débuté, on a su revenir grâce à une bonne défense, puis, peu à peu, faire douter les Lituaniens avant de leur mettre la tête dans le sceau en prolongations ", apprécie encore Cédric Ferchaud, à l'unison de ses camarades emmenés jeudi soir par l'explosif Mike Bauer (25 pts à 90% de réussite) et un Michael Wright imperturbable (30 pts, 8/8 aux lancers) dans les moments clés.
[center]" On risque d'en prendre 30 ! "[/center]
Aux yeux de l'ancien Choletais, ce résultat majeur s'inscrit pleinement dans la lignée du début de saison des Palois. " C'est une rencontre vraiment à notre image, avec deux visages très différents dans la même partie ", relève Ferchaud. " Mais dimanche à Nancy, nous n'aurons pas intérêt à reproduire le même début de match. Il faudra être intenses d'entrée, se montrer plus vigilants, sinon on risque d'en prendre 30 ! ".
Même son de cloche auprès de Freddy Fauthoux qui a appris à se méfier de l'euphorie des lendemains de victoires en terre étrangère. " Gare car le SLUC est en confiance ! Après deux finales perdues, cette équipe , bâtie par petites touches, arrive maintenant à maturité ", prévient le capitaine avant d'aller défier dans son antre le coleader national.
" Maintenant, l'objectif est de marquer les esprits de nos adversaires de Pro A autant que nous y parvenons en Euroligue ", ajoute Freddy, lequel a apprécié jeudi soir " le gros travail d'usure mené par tout un collectif " et la capacité de l'Elan " à montrer ses ressources en s'imposant une seconde fois à l'extérieur sans CC Harrison (blessé) ".
[center]" Le temps est compté "[/center]
L'arrière américain, attendu peut-être en fin de semaine prochaine, fera encore défaut demain dans la difficile salle Gentilly ou l'Elan entamera une série de quatre rencontres déterminantes (1) dans l'optique d'une participation à la Semaine des As organisée justement à Nancy en février. Par la faute d'un bilan toujours négatif (6 victoires - 7 défaites) moins d'un mois avant la distribution des billets, le temps est désormais compté pour les Béarnais.
Ils accusent à ce jour un succès de retard sur les derniers clubs qualifiables, à savoir le tandem composé du Havre et des Dijonnais attendus dans 8 jours au Palais des Sports et se montrent beaucoup moins prolifiques loin de leurs bases , en Pro A, que sur le front européen. " Mais, maintenant, c'est terminé " , assure Fauthoux. " Pour nous, pour notre public aussi, on se doit de confirmer à la maison ce que nous réussissons en voyage ".
Cette belle déclaration d'intention , déjà entendue, n'autorisera pas pour autant l'Elan à montrer son mauvais profil demain après-midi.
" Nancy a tout pour plaire "
Double finaliste sortant, le SLUC présente un effectif très complet.
" Il n'y pas d elimite à ce que cette équipe peut faire ! " Le vieux grognard Jean-Luc Monschau, que l'on a connu plus prudent, ne tarit guère d'éloges sur son groupe.
Il est vrai que le SLUC , réfugié derrière la meilleure défense du championnat (70 pts de moyenne) et toujours coleader malgrè son récent revers à Paris, se révèle particulièrement impressionnant.
omniprésent au plus haut niveau national depuis deux ans ( 1 Semaine des As, vainqueur de la saison régulière 2006 et deux finales du play-off), le club lorrain, avec 3,4 millions de budget, n'a pas lésiné sur les moyens pour garder son statut. " Nous en sommes désormais au stade ou on essaie de choisir nos joueurs, histoire de maintenir un style, de garder une identité ", confirme l'entraîneur lorrain qui, de la Coupe ULEB au titre de Pro A, ne s'interdit aucun objectif.
" Lidée principale est bien sûr de revenir à Bercy ", reprend Monschau " en espérant que, cette fois, la troisième finale sera la bonne car, au printemps dernier, il ne nous a manqué que 4 minutes pour battre Le Mans. Mais, en février, on organise aussi la Semaine des As et c'est un évènement pour nous ". Un bon parcours en coupe d'Europe ULEB, ou les Nancéens vont sortir par le haut malgrè une phase de poule difficile, fait également partie des objectifs déclarés.
[center]" Revenir à Bercy "[/center]
Pour tenir le choc sur tous ces tableaux, l'adversaire de l'Elan s'est d'abord appliqué à conserver son ossature de 'lan passé.
Six joueurs, dont Julian (le premier rebondeur de la division) et Zianveni, ont donc été resignés avec dans le lot l'ailier Tarik Kirskay désormais titulaire d'un passeport français. " Afin de les entourer, on a cherché ensuite des gars qui mouillent le maillot mais aussi prêt à se battre pour défendre l'idée d'un jeu rapide et collectif ", explique Jean-Luc Monshau.
D'ou les arrivées de l'arrière Cédric Banks, MVP de Pro B avec Besançon, du meneur universitaire Soliver, de l'intérieur parisien Samnick longtemps annoncé à pau, et surtout de la sangsue John Linhean, capable de faire déjouer n'importe quel meneur. Mais , out pour la saison, il a dû être (avantageusement) remplacé par le Serbe Milisavljevic déjà efficace (15 points) lors de ses débuts mardi face aux Allemands de Bamberg.
Nancy a indéniablement tout pour plaire. Reste à séduire Bercy.
(Source : La République des Pyrénées)
Au Palais des Sports Jean Weille, cet après-midi :
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A 15h,NANCY vs ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ [/center] [/updown]Le match pourra également être suivi sur le live de la Ligue, via son site internet http://www.lnb.fr et à la radio, sur le net, avec France Bleu Béarn sur http://www.tv-radio.com/player/mini.php ... &RM=1&QT=1
SLUC NANCY : 4. C.BANKS (US, 1,90m), 6. N'JOYA (CAM, 1,88m), 7. C.JULIAN (FR, 2,06m), 8. D.MACLINTOCK (US, 2,12m), 9. R.SOLIVER (US, 1,90m), 10. M.ZIANVENI (FR, 1,98m), 11. A.SALMON (FR, 2,03m), 13. V.SAMNICK (FR, 2,03m), 14. D.HAYES (US/FR, 1,96m), 15. T.KIRKSKAY (US/FR, 1,98m), 16. A.ZAKI (NIG, 2,16m), 17. B.MILISAVLJEVIC (SER, 1,93m).Entraîneur : Mr J.L MONSCHAU (FR).
ELAN BEARNAIS PAU-ORTHEZ : 4. F.FAUTHOUX (FR, 1,80m), 6. X.D'ALMEIDA (FR, 1,83m), 7. R.GREER (DOM 1,96m), 8. B.JOHNSEN (US, 2,06m), 9. C.FERCHAUD (FR, 1,96m), 11. A.MILES (US, 1,86m), 12. T.RUPERT (FR, 2m), 13. A.AJINCA (FR, 2,13m), 14. I.MAHINMI (FR, 2,06m), 15. M.BAUER (US, 2,03m), 16. L.VATY (FR, 2,05m), 18. M.WRIGHT (US, 2,03m).Entraîneur : Mr G.HERBERT(CAN)
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garçouille
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number7
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Bon, ben, une première mi temps digne des bords de la Baltique avec une défense gelée... mais surtout 9 balles perdues dont 5 pour Johnsen, à côté de ses pompes ce soir ou alors il a gardé ses moufles. La différence au score est là avec en plus une différence assez importante aux Lancers francs... un manque d'agressivité offensive peut-être ? En tout cas, deux fois plus de LF tentés par Nancy. et 1/12 aux tirs à 3 pts avec la seule satisfaction de cette 1ère mi temps... un 3 pts de Fred Fauthoux. Bref, c'est pas top top... et il n'y a que Wright qui tienne vraiment la baraque.
Mais au moins, on ne peut espérer que du mieux... et ils vont nous faire la même 2e mi temps qu'à Kaunas
Mais au moins, on ne peut espérer que du mieux... et ils vont nous faire la même 2e mi temps qu'à Kaunas