[Euroleague J 12] E.B Pau-Orthez - Eldo Naples
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salut tout le monde moi je viens du portel et je suis l'euroligue notament pau orthez !! (et britton johnsen lol )
et je voulais vous souhaiter bon courage pour demain !!! j'espére que la victoir sera la !!
a bientot
et je voulais vous souhaiter bon courage pour demain !!! j'espére que la victoir sera la !!
a bientot
en vert et contre tous !!! http://zust-zuliii3-x.skyblog.com http://essm06-07.skyblog.com
- didier labrit-badie
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Voici l'article de sud-ouest.com visible là: http://www.sudouest.com/170107/sport.as ... a49356.xml
PAU-ORTHEZ - NAPLES. -- Cantonné sur le banc en début de saison, Frédéric Fauthoux a retrouvé le chemin des parquets. Pour sa dernière saison européenne, le capitaine salive à l'idée de jouer le Top 16
« Ce serait une belle fin »: Propos recueillis par Marc Duthu
« Tout le monde se donne à fond dans cette équipe », assure le capitaine palois
EUROLIGUE (12e JOURNEE)
« Sud Ouest ». Il ne manque qu'une victoire à l'Elan pour jouer le Top 16. Allez-vous faire durer le suspense ou valider votre billet dès ce soir ?
Frédéric Fauthoux. Dans ce genre de situation, il vaut mieux ne pas jouer avec le feu. Les Napolitains ne vont pas venir en victimes, ils disputent leur qualification eux aussi. Mais depuis le début de l'année, on est beaucoup mieux. On reste sur trois victoires pas volées, avec de belles choses à chaque fois. Il faut continuer sur cette dynamique.
SO:Etes-vous surpris de voir votre équipe réaliser un si joli parcours européen ?
FF: Un peu surpris oui, car l'Euroligue c'est le très haut niveau et on s'y est plantés d'autres fois avec d'aussi belles équipes que celle-ci. Au soir du tirage au sort, en voyant les noms de nos adversaires, je pensais qu'on souffrirait davantage. Mais tout le monde se donne à fond et le basket qui s'y joue, basé surtout sur le demi-terrain, nous convient bien.
SO: Après avoir passé votre automne entre l'infirmerie et le banc, vous avez retrouvé les parquets en début d'année. Vous étiez en manque ?
FF: Oui, même s'il était prévu depuis le début que je tienne ce rôle de troisième meneur, derrière un Américain et Xane d'Almeida qui représente l'avenir. Mais Xane s'est malheureusement blessé et mes performances durant son absence ont apparemment plu à Gordon Herbert. Je suis content d'avoir retrouvé le terrain et la confiance du coach.
SO: Et avant, vous vous sentiez inutile ?
FF: Un peu... Quand on voit l'équipe souffrir et qu'on ne joue pas, on souffre deux fois plus. On se dit qu'on pourrait apporter quelque chose, mais on n'en a pas l'occasion. Au bout d'un moment, tu vas à l'entraînement avec moins d'envie, comme un mec qui est sûr de ne pas jouer du tout. Tu te poses des questions et tu attends un signe qui ne vient pas. Mentalement, il faut être costaud et continuer à bosser en te disant qu'on te redonnera ta chance un jour ou l'autre.
SO: Lors du voyage en bus à Barcelone, vous avez tenu à faire visionner à vos coéquipiers américains des cassettes de matches passés. Pourquoi ?
FF: Je leur ai montré des extraits du sacre en Coupe Korac en 1983, la bagarre contre Limoges lors de la finale 1987 et le sacre de 2003 avec Diaw et les Piétrus. C'était pour leur montrer que l'Elan n'est pas un club comme les autres. L'Elan c'est une histoire, une fierté et une tradition de victoires. Le message c'était de leur dire : « Vous êtes arrivés dans un club qui a beaucoup gagné et qui doit gagner encore. »
SO: Vous tenez le rôle du vieux sage ?
FF: Quand on ne gagnait pas, des joueurs sont venus me voir pour essayer de comprendre ce qui se passait. On les prenait pour des mercenaires. Moi, je voyais surtout des compétiteurs, avec beaucoup de qualités, mais des gars qui ne jouaient pas ensemble. Quant tu as des joueurs de talent, le plus dur à réaliser c'est qu'ils se passent la balle. Et contre Fenerbahçe, l'Aris puis Naples, ce groupe a montré qu'il existait, qu'il pouvait jouer ensemble et transmettre quelque chose de fort.
SO: Vous jouez votre dernière campagne européenne. Seriez-vous comblé par un Top 16 ou rêvez-vous de mieux ?
FF: Le Top 16, ce n'était pas prévu. Jouer un quart de finale serait savoureux, même si ce n'est pas un objectif pour le club. Mais pour moi, rien qu'un Top 16 ce serait une belle fin
2 choses:
-dans le bus pour Barcelone il a choisit de bons extraits de l'histoire de l'Elan (mais la Korac c'était en 84)
-il dit "Et contre Fenerbahçe, l'Aris puis Naples, ce groupe a montré qu'il existait, qu'il pouvait jouer ensemble " donc Fred a déjà vu le match et on l'a gagné apparemment
Vivement ce soir pour voir ce match charnière car avec la victoire on regarde vers le haut et on est libéré, une défaite et c'est le stress jusqu'à la fin.
La formule de l'EL est quand même bien trouvée car c'est jamais fini!!
PAU-ORTHEZ - NAPLES. -- Cantonné sur le banc en début de saison, Frédéric Fauthoux a retrouvé le chemin des parquets. Pour sa dernière saison européenne, le capitaine salive à l'idée de jouer le Top 16
« Ce serait une belle fin »: Propos recueillis par Marc Duthu
« Tout le monde se donne à fond dans cette équipe », assure le capitaine palois
EUROLIGUE (12e JOURNEE)
« Sud Ouest ». Il ne manque qu'une victoire à l'Elan pour jouer le Top 16. Allez-vous faire durer le suspense ou valider votre billet dès ce soir ?
Frédéric Fauthoux. Dans ce genre de situation, il vaut mieux ne pas jouer avec le feu. Les Napolitains ne vont pas venir en victimes, ils disputent leur qualification eux aussi. Mais depuis le début de l'année, on est beaucoup mieux. On reste sur trois victoires pas volées, avec de belles choses à chaque fois. Il faut continuer sur cette dynamique.
SO:Etes-vous surpris de voir votre équipe réaliser un si joli parcours européen ?
FF: Un peu surpris oui, car l'Euroligue c'est le très haut niveau et on s'y est plantés d'autres fois avec d'aussi belles équipes que celle-ci. Au soir du tirage au sort, en voyant les noms de nos adversaires, je pensais qu'on souffrirait davantage. Mais tout le monde se donne à fond et le basket qui s'y joue, basé surtout sur le demi-terrain, nous convient bien.
SO: Après avoir passé votre automne entre l'infirmerie et le banc, vous avez retrouvé les parquets en début d'année. Vous étiez en manque ?
FF: Oui, même s'il était prévu depuis le début que je tienne ce rôle de troisième meneur, derrière un Américain et Xane d'Almeida qui représente l'avenir. Mais Xane s'est malheureusement blessé et mes performances durant son absence ont apparemment plu à Gordon Herbert. Je suis content d'avoir retrouvé le terrain et la confiance du coach.
SO: Et avant, vous vous sentiez inutile ?
FF: Un peu... Quand on voit l'équipe souffrir et qu'on ne joue pas, on souffre deux fois plus. On se dit qu'on pourrait apporter quelque chose, mais on n'en a pas l'occasion. Au bout d'un moment, tu vas à l'entraînement avec moins d'envie, comme un mec qui est sûr de ne pas jouer du tout. Tu te poses des questions et tu attends un signe qui ne vient pas. Mentalement, il faut être costaud et continuer à bosser en te disant qu'on te redonnera ta chance un jour ou l'autre.
SO: Lors du voyage en bus à Barcelone, vous avez tenu à faire visionner à vos coéquipiers américains des cassettes de matches passés. Pourquoi ?
FF: Je leur ai montré des extraits du sacre en Coupe Korac en 1983, la bagarre contre Limoges lors de la finale 1987 et le sacre de 2003 avec Diaw et les Piétrus. C'était pour leur montrer que l'Elan n'est pas un club comme les autres. L'Elan c'est une histoire, une fierté et une tradition de victoires. Le message c'était de leur dire : « Vous êtes arrivés dans un club qui a beaucoup gagné et qui doit gagner encore. »
SO: Vous tenez le rôle du vieux sage ?
FF: Quand on ne gagnait pas, des joueurs sont venus me voir pour essayer de comprendre ce qui se passait. On les prenait pour des mercenaires. Moi, je voyais surtout des compétiteurs, avec beaucoup de qualités, mais des gars qui ne jouaient pas ensemble. Quant tu as des joueurs de talent, le plus dur à réaliser c'est qu'ils se passent la balle. Et contre Fenerbahçe, l'Aris puis Naples, ce groupe a montré qu'il existait, qu'il pouvait jouer ensemble et transmettre quelque chose de fort.
SO: Vous jouez votre dernière campagne européenne. Seriez-vous comblé par un Top 16 ou rêvez-vous de mieux ?
FF: Le Top 16, ce n'était pas prévu. Jouer un quart de finale serait savoureux, même si ce n'est pas un objectif pour le club. Mais pour moi, rien qu'un Top 16 ce serait une belle fin
2 choses:
-dans le bus pour Barcelone il a choisit de bons extraits de l'histoire de l'Elan (mais la Korac c'était en 84)
-il dit "Et contre Fenerbahçe, l'Aris puis Naples, ce groupe a montré qu'il existait, qu'il pouvait jouer ensemble " donc Fred a déjà vu le match et on l'a gagné apparemment
Vivement ce soir pour voir ce match charnière car avec la victoire on regarde vers le haut et on est libéré, une défaite et c'est le stress jusqu'à la fin.
La formule de l'EL est quand même bien trouvée car c'est jamais fini!!
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- Prési du forum
- Messages : 13027
- Enregistré le : 17 nov. 2003 10:32
- Localisation : Pau/Orthez
Oui, c'est ce que je disais 1982 et 1983 peut-être leur a t-il montré celle du CSPNobody a écrit :il voulait dire les Korac de limoges c'était en 82 et 83 je pense...
la bagarre c'était bien en 87, puis y'en a eu d'autres avec notamment la sympathique échauffourée entre Marcus Webb et Franck Butter à Beaublanc dans les panneaux publicitaires.
Il n'y a pas eu que contre Limoges qu'il y a eu des échauffourées. je me rappelle de Muresan qui voulait attrapper Nicholas de Novo Mesto en 2000-01. C'était spectaculaire de voir Gidza s'énerver contre Nicholas
- didier labrit-badie
- Au Hall of Fame du Palais des Sports
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- Localisation : paris
au niveau bagarre c'est Tours au début des années 80 qui tient la palme car le public était rentré sur le terrain et à l'époque les rugbymen de l'USO qui étaient en première ligne dans l'échauffourée n'étaient pas dans les loges mais sur les bancs comme les autres et ils n'avaient pas laissé leur part aux chiens! Faut dire aussi qu'il n'y avait pas de loges!!
Maintenant si on lève le petit doigt on joue à huis-clos, foutu progrès!
Bon, plus que 5h15 avant le coup d'envoi.
Maintenant si on lève le petit doigt on joue à huis-clos, foutu progrès!
Bon, plus que 5h15 avant le coup d'envoi.
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- Joueur parti s'aguerrir en Pro B
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- Enregistré le : 09 sept. 2006 22:54
J'ai un souvenir mémorable au début des années 80 contre l'AEK Athènes je crois.
Henderson avait réussi à balancer le ricain adverse vers le banc orthézien où tous les joueurs présents lui avait aimablement massé les côtes.
Au cours de la mélée générale qui s'ensuivit, le ricain en question avait balancé au loin les képis de 2 braves gendarmes de service qui tentaient vainement de s'interposer!
Un grand moment.......
Henderson avait réussi à balancer le ricain adverse vers le banc orthézien où tous les joueurs présents lui avait aimablement massé les côtes.
Au cours de la mélée générale qui s'ensuivit, le ricain en question avait balancé au loin les képis de 2 braves gendarmes de service qui tentaient vainement de s'interposer!
Un grand moment.......
Oui ! Stephen Garrance.gom jabbar a écrit :J'ai un souvenir mémorable au début des années 80 contre l'AEK Athènes je crois.
Henderson avait réussi à balancer le ricain adverse vers le banc orthézien où tous les joueurs présents lui avait aimablement massé les côtes.
Au cours de la mélée générale qui s'ensuivit, le ricain en question avait balancé au loin les képis de 2 braves gendarmes de service qui tentaient vainement de s'interposer!
Un grand moment.......
Il est meme devenu co-président des tahals de Al wahad.
ps: c'est génial!
re-ps : GE - NI - AL !
putain!!!!!!!!!!perdu de 4 points; ça calme: je me disais bien que cet état d'euphorie allait s'arréter.
Je n'ai écouté que les commentaires radio, y'avait une sorte de fatalisme chez JP, il parlait sans cesse de Novo Mesto; aie, aie, aie: pourvu qu'on retourne pas en dépression; detoute façon c'était une journée de merde (pardon, commentaire personnel)
Je n'ai écouté que les commentaires radio, y'avait une sorte de fatalisme chez JP, il parlait sans cesse de Novo Mesto; aie, aie, aie: pourvu qu'on retourne pas en dépression; detoute façon c'était une journée de merde (pardon, commentaire personnel)
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- 12ème homme de l'Elan
- Messages : 999
- Enregistré le : 08 août 2005 22:40
- Localisation : pau ou paris
faut arreter avec Novo Mesto quand meme, on est pas du tout dnas la meme situation, notre qualification est toujours presque certaine pour le top16, surtout qu'on conserve le point-average
mais evidemment, pour la 3e place de la poule, c'est plus trop la peine d'y penser
en tout cas, chiffre clé de la soirée: 19: c'est le nombre de rebonds offensifs pris par Naples
mais evidemment, pour la 3e place de la poule, c'est plus trop la peine d'y penser
en tout cas, chiffre clé de la soirée: 19: c'est le nombre de rebonds offensifs pris par Naples
[img]http://img484.imageshack.us/img484/3199/signdraganmg0.jpg[/img]
[url]http://s3.metaldamage.fr/c.php?uid=122326[/url]
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- Joueur majeur de l'Elan
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- Enregistré le : 16 févr. 2005 9:07
- Localisation : Bordeaux
sauf que la victoire de Trévise à l'Aris n'est pas du tout faite d'avance, surtout sans Goree. Donc, demain, l'élan pourrait être 4°, a égalité avec la benetton (3°), et l'aris (5°)awaremann a écrit :faut arreter avec Novo Mesto quand meme, on est pas du tout dnas la meme situation, notre qualification est toujours presque certaine pour le top16, surtout qu'on conserve le point-average
mais evidemment, pour la 3e place de la poule, c'est plus trop la peine d'y penser
en tout cas, chiffre clé de la soirée: 19: c'est le nombre de rebonds offensifs pris par Naples
Et pour la dernière journée, Trévise va à Naples, pendant que l'élan reçoit Kaunas....Donc, non, la 3° place n'est pas encore perdue, loin de là!! En fonction des résultats de demain, il est possible que l'élan, l'Aris et Trévise se battent pour les places 3/4 et 5 jusqu'au dernier moment!
L'ennemi est bête : il croit que c'est nous l'ennemi, alors que c'est lui - P. Desproges