Jean-Aimé Toupane, nouvel entraîneur! (p.20)

[didier labrit-badie]

Désolé Elan mais là je peux pas être d'accord avec toi!!!!
Cette année, le coach arrivera en connaissance de l'effectif, oui et alors????
N'était-ce pas non plus le cas les 2 années précédentes pour Herbert et Cousin???
Quand Gordy a signé, il savait déjà que Seillant avait signé Bauer, Greer, et peut-être d'autres, je m'en rappelle plus...
Pour Cousin, il venait également en sachant que Stanic, Young, Withers avaient signés non????
Alors quelle est la différence???

Qu'on lui pardonne plus facilement car c'est ça première saison, que c'est un gars du coin, et que c'est un bon coach, ça ok!!!!!
Moi, je suis comme tout le monde, je suis ravi de sa venue, et j'espère le meilleur pour lui et le club (et pour nous supporters...), mais je trouve que beaucoup le voient un peu comme le MESSIE, et ça c'est totalement ridicule...
J'ai l'impression que le club n'apprend pas de ses erreurs, et ça, ça me fait enrager!

Comme de dire que aujourd'hui Bergeaud ne fait pas l'équipe seul, alors que Seillant la faisait seul...Sérieusement sortez vous de devant les Teletubbies et les Bisounours!!!

La différence c'est que les coachs ne feront pas un nouveau recrutement en arrivant (Johnsen pour Herbert, Fein pour Cousin). La règle est claire...

Pourquoi elle ne l'était pas avant avec Seillant(contre lequel je n'ai aucune récrimination à faire d'ailleurs), je suis entièrement d'accord avec gpolin et nous sommes trop dans le rêve avec C.B et j'avais alerté à la mi-juin du fait qu'il recrutait avant de connaître l'entraîneur.

Hier nous râlions très fortement contre cette pratique et aujourd'hui aucun problème?

la petite différence entre CB et Seillant est que Claude s'y connaît un peu plus niveau basket et joueur...Seillant c'était souvent des coups de coeur qui lui faisaient signer des joueurs tôt avant que le marché ne soit réellement ouvert

[gpolin]

La différence c'est que les coachs ne feront pas un nouveau recrutement en arrivant (Johnsen pour Herbert, Fein pour Cousin). La règle est claire...

Pourquoi elle ne l'était pas avant avec Seillant(contre lequel je n'ai aucune récrimination à faire d'ailleurs), je suis entièrement d'accord avec gpolin et nous sommes trop dans le rêve avec C.B et j'avais alerté à la mi-juin du fait qu'il recrutait avant de connaître l'entraîneur.

Hier nous râlions très fortement contre cette pratique et aujourd'hui aucun problème?

la petite différence entre CB et Seillant est que Claude s'y connaît un peu plus niveau basket et joueur...Seillant c'était souvent des coups de coeur qui lui faisaient signer des joueurs tôt avant que le marché ne soit réellement ouvert

C'est vrai que des coups de coeur comme Bauer, perso, je ferais tout pour les éviter....

[gfive]

la petite différence entre CB et Seillant est que Claude s'y connaît un peu plus niveau basket et joueur...Seillant c'était souvent des coups de coeur qui lui faisaient signer des joueurs tôt avant que le marché ne soit réellement ouvert

Mouais.....36 ans d'expérience, quand même, ça se pose un peu là.

Non, mais la seule différence, c'est que c'est assumé.

Il me semble qu'au moment où ça n'allait vraiment pas bien avec Herbert, Seillant avait dit à propos de l'épisode Bauer : "Si j'avais su que Herbert ne voulait pas de Bauer, je n'aurais pas pris Herbert"

Donc, dans l'idée, c'est un peu la même chose : les joueurs (au moins certains) sont là, le coach doit faire avec.

Sauf que Bergeaud l'a dit AVANT de recruter le coach et les joueurs.
Ca veut pas dire que ça va marcher mieux, mais au moins, c'est clair.

[gpolin]

la petite différence entre CB et Seillant est que Claude s'y connaît un peu plus niveau basket et joueur...Seillant c'était souvent des coups de coeur qui lui faisaient signer des joueurs tôt avant que le marché ne soit réellement ouvert

Mouais.....36 ans d'expérience, quand même, ça se pose un peu là.

Non, mais la seule différence, c'est que c'est assumé.

Il me semble qu'au moment où ça n'allait vraiment pas bien avec Herbert, Seillant avait dit à propos de l'épisode Bauer : "Si j'avais su que Herbert ne voulait pas de Bauer, je n'aurais pas pris Herbert"

Donc, dans l'idée, c'est un peu la même chose : les joueurs (au moins certains) sont là, le coach doit faire avec.

Sauf que Bergeaud l'a dit AVANT de recruter le coach et les joueurs.
Ca veut pas dire que ça va marcher mieux, mais au moins, c'est clair.

Sur le coup, je suis assez d'accord avec gfive.
Car Seillant doit tout de même avoir des connaissances niveau basket pour avoir mené le club jusque là.
Maintenant, j'espère bien que Bergeaud montera une équipe capable de jouer au minimum les PO, voire plus si affinitées...
Le système de recrutement qu'il met en place ne me plaît pas, mais s'il pouvez avoir raison, j'en serai très heureux.
mon intervention sur ce sujet était là pour faire un peu retomber l'euphorie ambiante concernant ce soi-disant nouveau mode de fonctionnement..

[la fouine]

la petite différence entre CB et Seillant est que Claude s'y connaît un peu plus niveau basket et joueur...Seillant c'était souvent des coups de coeur qui lui faisaient signer des joueurs tôt avant que le marché ne soit réellement ouvert

Mouais.....36 ans d'expérience, quand même, ça se pose un peu là.

Non, mais la seule différence, c'est que c'est assumé.

Il me semble qu'au moment où ça n'allait vraiment pas bien avec Herbert, Seillant avait dit à propos de l'épisode Bauer : "Si j'avais su que Herbert ne voulait pas de Bauer, je n'aurais pas pris Herbert"

Donc, dans l'idée, c'est un peu la même chose : les joueurs (au moins certains) sont là, le coach doit faire avec.

Sauf que Bergeaud l'a dit AVANT de recruter le coach et les joueurs.
Ca veut pas dire que ça va marcher mieux, mais au moins, c'est clair.

Sur le coup, je suis assez d'accord avec gfive.
Car Seillant doit tout de même avoir des connaissances niveau basket pour avoir mené le club jusque là.
Maintenant, j'espère bien que Bergeaud montera une équipe capable de jouer au minimum les PO, voire plus si affinitées...
Le système de recrutement qu'il met en place ne me plaît pas, mais s'il pouvez avoir raison, j'en serai très heureux.
mon intervention sur ce sujet était là pour faire un peu retomber l'euphorie ambiante concernant ce soi-disant nouveau mode de fonctionnement..

des connaissances ?
Avec de l'argent pas besoin de connaissances.

[gfive]

des connaissances ?
Avec de l'argent pas besoin de connaissances.

Parles en aux dirigeants du Pana qui n'ont pas atteint le Final 4.

[josh grant]

Il a été dit ce matin aux info de Pau la somme que demandé Herbert aux prudhomme... bien évidemment mon chien a aboyé au moment ou le journaliste annocait le montant...
Est ce que quelqu'un aurait capté l'info?

[BOZO]

Selon mes sources, ce serait autour de 370'000 €...

[KINDER64]

Il a été dit ce matin aux info de Pau la somme que demandé Herbert aux prudhomme... bien évidemment mon chien a aboyé au moment ou le journaliste annocait le montant...
Est ce que quelqu'un aurait capté l'info?

Non, juste au moment où il donnait le moment, y'a le chien du voisin qui a aboyé ...

Ca doit être dans le journal aussi.

[Reconquête]

Voici l'article du Journal Sud-Ouest.

PRUD'HOMMES.-- L'ancien coach canadien des basketteurs de Pau-Orthez, limogé en juin 2007, réclame 368 600 euros d'indemnités pour licenciement abusif

Herbert-Elan : l'autre match:Marc Duthu


Trois semaines après la divulgation du procès perdu en appel face à Mate Skelin (1), qui a plongé le club dans une grave crise financière, l'Elan Béarnais était à nouveau appelé à la barre, hier, devant le Conseil des prud'hommes de Pau. Le plaignant n'était cette fois pas un joueur, mais un coach, Gordon Herbert, licencié au terme de la saison 2006-2007 alors qu'il était sous contrat jusqu'en 2008. L'entraîneur canadien était absent des débats : « Il est rentré en Finlande, chez sa belle-famille, se refaire une santé », précisa son avocat, Me Chevalier.
La collaboration entre Gordon Herbert et Pau-Orthez s'était achevée dans une ambiance assez surréaliste : quelques minutes après la victoire du club en finale de la Coupe de France, le 13 mai 2007 à Paris, le coach canadien s'était livré à une diatribe fracassante lors de la conférence de presse d'après-match.


Propos salés. Des propos que Me Pitico, défendant les intérêts de l'Elan Béarnais, a repris mot pour mot hier : « Ce ne sont pas des paroles tenues au coin d'un vestiaire mais devant les représentants de la presse et que l'on peut encore voir et entendre aujourd'hui sur Internet », précisa-t-il. Morceaux choisis : « les personnes qui ont dit qu'il s'agissait de la pire saison de l'Elan peuvent aller se faire foutre [?] Je suis fier d'avoir prouvé à ces fils de demoiselle qui ne dit pas souvent non qu'on était une équipe [?] Je les invite à venir m'embrasser sur le cul. »
Me Chevalier, qui a reconnu la teneur « de propos un peu crus », a élargi autant qu'il le pouvait le spectre de son argumentation, y mêlant l'existence de deux contrats entre le club et son client, le second faisant apparaître un contrat de scouting avec une société tiers, et la naturalisation de Melvin Sanders, joueur américain qui obtint en cours de saison un passeport georgien. Il revint plus près du dossier en plaidant la pression à laquelle Gordon Herbert fut soumis : « Il a été l'objet de critiques systématiques en interne. Il a été harcelé dans le but de le pousser à la faute. Les propos qu'il a tenus ne sont pas un motif mais un prétexte à son licenciement. »
Face à cette attaque un peu molle et dispersée, Me Pitico assura une défense digne du niveau Euroligue. Il mit en exergue la personnalité de Gordon Herbert « coupable d'accès violents » quand « il insulte un joueur de Roanne », qualifie les arbitres du match au Mans « de clowns » et « doit être ceinturé pour l'empêcher d'en venir aux mains avec un supporter palois ». Mais ce sont les propos de Gordon Herbert à Bercy qui lui donnèrent l'occasion de marquer des points. « Dans son contrat, M. Herbert avait obligation de représenter le club », précisa-t-il. « Des supporters et la ville de Pau se sont émus de ce comportement. Un sponsor important a prévenu qu'il ne reconduirait pas son partenariat. »


Jurisprudence. Il s'appuya sur la jurisprudence de la cour de cassation, rappelant « qu'un salarié en peut abuser de sa liberté d'expression pour tenir des propos diffamatoires, excessifs ou insultants envers son entreprise. En tant que cadre, il se voit imposer une obligation de loyauté et de réserve ». Pour Me Pitico, « le manquement à ces obligations et l'onde de choc qui a suivi, ont empêché le club de maintenir cet entraîneur à la tête de l'équipe ».
Me Chevallier a réclamé 368 800 euros d'indemnités au titre de perte de salaire (le coach canadien aurait dû percevoir 180 000 euros pour la saison 2007-2008) et de préjudices divers. De son côté, Me Pitico a demandé, « compte tenu de la stratégie qui consiste à salir le club et la réputation de M. Seillant », 50 000 euros au titre de préjudice moral. Le jugement sera rendu le 17 novembre prochain.
(1) L'Elan Béarnais a été condamné par la cour d'appel de Lyon à payer 475 000 euros d'indemnités au pivot croate au titre de licenciement abusif (lire « S O » des 7 et 10 juin).

[Elan Forever]

Propos salés. Des propos que Me Pitico, défendant les intérêts de l'Elan Béarnais, a repris mot pour mot hier : « Ce ne sont pas des paroles tenues au coin d'un vestiaire mais devant les représentants de la presse et que l'on peut encore voir et entendre aujourd'hui sur Internet », précisa-t-il. Morceaux choisis : « les personnes qui ont dit qu'il s'agissait de la pire saison de l'Elan peuvent aller se faire foutre [?] Je suis fier d'avoir prouvé à ces fils de demoiselle qui ne dit pas souvent non qu'on était une équipe [?] Je les invite à venir m'embrasser sur le cul. »
Me Chevalier, qui a reconnu la teneur « de propos un peu crus », a élargi autant qu'il le pouvait le spectre de son argumentation, y mêlant l'existence de deux contrats entre le club et son client, le second faisant apparaître un contrat de scouting avec une société tiers, et la naturalisation de Melvin Sanders, joueur américain qui obtint en cours de saison un passeport georgien. Il revint plus près du dossier en plaidant la pression à laquelle Gordon Herbert fut soumis : « Il a été l'objet de critiques systématiques en interne. Il a été harcelé dans le but de le pousser à la faute. Les propos qu'il a tenus ne sont pas un motif mais un prétexte à son licenciement. »
Face à cette attaque un peu molle et dispersée, Me Pitico assura une défense digne du niveau Euroligue. Il mit en exergue la personnalité de Gordon Herbert « coupable d'accès violents » quand « il insulte un joueur de Roanne », qualifie les arbitres du match au Mans « de clowns » et « doit être ceinturé pour l'empêcher d'en venir aux mains avec un supporter palois ». Mais ce sont les propos de Gordon Herbert à Bercy qui lui donnèrent l'occasion de marquer des points. « Dans son contrat, M. Herbert avait obligation de représenter le club », précisa-t-il. « Des supporters et la ville de Pau se sont émus de ce comportement. Un sponsor important a prévenu qu'il ne reconduirait pas son partenariat. »

Pauvres supporters, ils ont été trop choqués d'entendre dans la bouche d'un coach la moitié de ce qu'ils vocifèrent contre des arbitres lors d'un match...

Jurisprudence. Il s'appuya sur la jurisprudence de la cour de cassation, rappelant « qu'un salarié en peut abuser de sa liberté d'expression pour tenir des propos diffamatoires, excessifs ou insultants envers son entreprise. En tant que cadre, il se voit imposer une obligation de loyauté et de réserve ». Pour Me Pitico, « le manquement à ces obligations et l'onde de choc qui a suivi, ont empêché le club de maintenir cet entraîneur à la tête de l'équipe ».
Me Chevallier a réclamé 368 800 euros d'indemnités au titre de perte de salaire (le coach canadien aurait dû percevoir 180 000 euros pour la saison 2007-2008) et de préjudices divers. De son côté, Me Pitico a demandé, « compte tenu de la stratégie qui consiste à salir le club et la réputation de M. Seillant », 50 000 euros au titre de préjudice moral. Le jugement sera rendu le 17 novembre prochain.

190000€ en préjudice divers, ça fait quand même un poil beaucoup... Quand à la réputation du club, je ne suis pas sur qu'il ait fallu attendre Herbert pour voir se dégrader des choses du côté du Palais...

[bobbylaguepe]

Propos salés. Des propos que Me Pitico, défendant les intérêts de l'Elan Béarnais, a repris mot pour mot hier : « Ce ne sont pas des paroles tenues au coin d'un vestiaire mais devant les représentants de la presse et que l'on peut encore voir et entendre aujourd'hui sur Internet », précisa-t-il. Morceaux choisis : « les personnes qui ont dit qu'il s'agissait de la pire saison de l'Elan peuvent aller se faire foutre [?] Je suis fier d'avoir prouvé à ces fils de demoiselle qui ne dit pas souvent non qu'on était une équipe [?] Je les invite à venir m'embrasser sur le cul. »
Me Chevalier, qui a reconnu la teneur « de propos un peu crus », a élargi autant qu'il le pouvait le spectre de son argumentation, y mêlant l'existence de deux contrats entre le club et son client, le second faisant apparaître un contrat de scouting avec une société tiers, et la naturalisation de Melvin Sanders, joueur américain qui obtint en cours de saison un passeport georgien. Il revint plus près du dossier en plaidant la pression à laquelle Gordon Herbert fut soumis : « Il a été l'objet de critiques systématiques en interne. Il a été harcelé dans le but de le pousser à la faute. Les propos qu'il a tenus ne sont pas un motif mais un prétexte à son licenciement. »
Face à cette attaque un peu molle et dispersée, Me Pitico assura une défense digne du niveau Euroligue. Il mit en exergue la personnalité de Gordon Herbert « coupable d'accès violents » quand « il insulte un joueur de Roanne », qualifie les arbitres du match au Mans « de clowns » et « doit être ceinturé pour l'empêcher d'en venir aux mains avec un supporter palois ». Mais ce sont les propos de Gordon Herbert à Bercy qui lui donnèrent l'occasion de marquer des points. « Dans son contrat, M. Herbert avait obligation de représenter le club », précisa-t-il. « Des supporters et la ville de Pau se sont émus de ce comportement. Un sponsor important a prévenu qu'il ne reconduirait pas son partenariat. »

Pauvres supporters, ils ont été trop choqués d'entendre dans la bouche d'un coach la moitié de ce qu'ils vocifèrent contre des arbitres lors d'un match...

Jurisprudence. Il s'appuya sur la jurisprudence de la cour de cassation, rappelant « qu'un salarié en peut abuser de sa liberté d'expression pour tenir des propos diffamatoires, excessifs ou insultants envers son entreprise. En tant que cadre, il se voit imposer une obligation de loyauté et de réserve ». Pour Me Pitico, « le manquement à ces obligations et l'onde de choc qui a suivi, ont empêché le club de maintenir cet entraîneur à la tête de l'équipe ».
Me Chevallier a réclamé 368 800 euros d'indemnités au titre de perte de salaire (le coach canadien aurait dû percevoir 180 000 euros pour la saison 2007-2008) et de préjudices divers. De son côté, Me Pitico a demandé, « compte tenu de la stratégie qui consiste à salir le club et la réputation de M. Seillant », 50 000 euros au titre de préjudice moral. Le jugement sera rendu le 17 novembre prochain.

190000€ en préjudice divers, ça fait quand même un poil beaucoup... Quand à la réputation du club, je ne suis pas sur qu'il ait fallu attendre Herbert pour voir se dégrader des choses du côté du Palais...

d'ou la différence entre supporters et coach, dans les tribunes tu peux, sur le banc non...

[gfive]

d'ou la différence entre supporters et coach, dans les tribunes tu peux, sur le banc non...

Certes.

Cela dit, certains supporters ne se sont pas gênés pour pourrir copieusement Herbert

D'après ce que j'ai lu ici où là, certains seraient même allés jusqu'à effrayer suffisament sa famille pour qu'elle ne mette plus les pieds au palais.

Et là, il me semble quand même que le club aurait du réagir.

Cela dit, j'espère qu'ils trouveront un terrain d'entente raisonnable.

[yannou]

je pense que le terrain d'entente envisagé, c'est qu'il aille s'embrasser le cul tout seul, s'il est assez souple.

[awaremannn]

D'après ce que j'ai lu ici où là, certains seraient même allés jusqu'à effrayer suffisament sa famille pour qu'elle ne mette plus les pieds au palais.

Et là, il me semble quand même que le club aurait du réagir.

c'est le moins qu'on puisse dire... si cette histoire est vraie le club se devait de réagir