31 janvier ou...1er février pour la dernière journéevisiteur a écrit :Bah non, le 31 janvier, c'est fini pour le premier tour...
Tirage Euroligue
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didier labrit-badie
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Re: re
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philip_pau
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" P.Seillant : " Encore du beau monde au Palais des Sports" "
Après avoir suivi en direct sur le site internet de l'Euroleague, Pierre Seillant, Directeur Exécutif de l'Elan Béarnais Pau-Orthez, a livré ses premières impressions :
" Encore une fois nous pouvons affirmer que nous avons tiré le gros lot avec ce groupe C. L'an dernier j'avais parlé de groupe de la Mort avec des équipes plus belles les une que les autres. Cette année nous sommes encore dans un groupe très relevé avec le champion en titre le CSKA Moscou, Barcelone emmené par Lakovic et le redoutable Navarro tout auréolé de son titre de champion du monde, le Benetton Trévise et le Zaguiris Kaunas qui ont eu tout deux l'honneur de remporter l'Euroleague, Fenerbahce avec le transfert d'Ulker au fort potentiel économique, le petit nouveau italien Naples qui présentera sans nul doute une équipe compétitive et où il ne sera pas facile d'aller gagner au sein de la ferveur napolitaine, l'Aris Salonique qui fait son grand retour au sein de l'élite européenne...un clin d'oeil sympathique aux fidèles supporters de l'Elan qui auront en mémoire les fantastiques batailles face au génial Nikos Galis et Ianakis (actuel coach de la Grèce) du temps de la Moutète.
Notre objectif sera de faire du mieux possible notamment à domicile où j'espère que nous décrocherons 5 victoires en espérant aller chercher 2 voir 3 victoires àl'extérieur afin de viser la 5ème place qualificative, voir la meilleure 6ème place. Connaissant les forces en présence, ce ne sera pas un objectif facile mais j'ai bon espoir dans cette équipe et à l'image de la chèvre de Maitre Seguin, si on devait céder ce sera au bout de la compétition et nous ne baisserons jamais les armes.
Nous présentons une équipe athlétique et rapide qui développera un jeu attractif avec une bonne assise défensive. Même si il faut se méfier des matchs de préparation, notre équipe présente à ce jour un remarquable état d'esprit. Elle est composée de joueurs qui veulent se lancer pour certains et se relancer pour d'autres. Ils ont tous en tête le challenge de se valoriser sur la scène européenne et de valoriser le club qui fêtera son 30ème anniversaire de présence en Coupe d'Europe "
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
Après avoir suivi en direct sur le site internet de l'Euroleague, Pierre Seillant, Directeur Exécutif de l'Elan Béarnais Pau-Orthez, a livré ses premières impressions :
" Encore une fois nous pouvons affirmer que nous avons tiré le gros lot avec ce groupe C. L'an dernier j'avais parlé de groupe de la Mort avec des équipes plus belles les une que les autres. Cette année nous sommes encore dans un groupe très relevé avec le champion en titre le CSKA Moscou, Barcelone emmené par Lakovic et le redoutable Navarro tout auréolé de son titre de champion du monde, le Benetton Trévise et le Zaguiris Kaunas qui ont eu tout deux l'honneur de remporter l'Euroleague, Fenerbahce avec le transfert d'Ulker au fort potentiel économique, le petit nouveau italien Naples qui présentera sans nul doute une équipe compétitive et où il ne sera pas facile d'aller gagner au sein de la ferveur napolitaine, l'Aris Salonique qui fait son grand retour au sein de l'élite européenne...un clin d'oeil sympathique aux fidèles supporters de l'Elan qui auront en mémoire les fantastiques batailles face au génial Nikos Galis et Ianakis (actuel coach de la Grèce) du temps de la Moutète.
Notre objectif sera de faire du mieux possible notamment à domicile où j'espère que nous décrocherons 5 victoires en espérant aller chercher 2 voir 3 victoires àl'extérieur afin de viser la 5ème place qualificative, voir la meilleure 6ème place. Connaissant les forces en présence, ce ne sera pas un objectif facile mais j'ai bon espoir dans cette équipe et à l'image de la chèvre de Maitre Seguin, si on devait céder ce sera au bout de la compétition et nous ne baisserons jamais les armes.
Nous présentons une équipe athlétique et rapide qui développera un jeu attractif avec une bonne assise défensive. Même si il faut se méfier des matchs de préparation, notre équipe présente à ce jour un remarquable état d'esprit. Elle est composée de joueurs qui veulent se lancer pour certains et se relancer pour d'autres. Ils ont tous en tête le challenge de se valoriser sur la scène européenne et de valoriser le club qui fêtera son 30ème anniversaire de présence en Coupe d'Europe "
(Source : http://www.elan-bearnais.fr)
En exclusité, j'ai retrouvé le brouillon qu'avait fait Pierrot avant le tirage :
Exercice : comme Pierre, complétez ce texte mais en considérant que nous étions tombé à la place du Mans dans le groupe A.brouillon de Pierrot a écrit :" Encore une fois nous pouvons affirmer que nous avons tiré le gros lot avec ce groupe .
L'an dernier j'avais parlé de groupe de la Mort avec des équipes plus belles les une que les autres. Cette année nous sommes encore dans un groupe très relevé avec , emmené par , qui ont eu tout l'honneur de remporter l'Euroleague, au fort potentiel économique, le petit nouveau qui présentera sans nul doute une équipe compétitive et où il ne sera pas facile d'aller gagner au sein de la ferveur , qui fait son grand retour au sein de l'élite européenne...un clin d'oeil sympathique aux fidèles supporters de l'Elan qui auront en mémoire les fantastiques batailles face au génial du temps de la Moutète.
Notre objectif sera de faire du mieux possible notamment à domicile où j'espère que nous décrocherons 5 victoires en espérant aller chercher 2 voir 3 victoires àl'extérieur afin de viser la 5ème place qualificative, voir la meilleure 6ème place. Connaissant les forces en présence, ce ne sera pas un objectif facile mais j'ai bon espoir dans cette équipe et à l'image de la chèvre de Maitre Seguin, si on devait céder ce sera au bout de la compétition et nous ne baisserons jamais les armes.
Nous présentons une équipe athlétique et rapide qui développera un jeu attractif avec une bonne assise défensive. Même si il faut se méfier des matchs de préparation, notre équipe présente à ce jour un remarquable état d'esprit. Elle est composée de joueurs qui veulent se lancer pour certains et se relancer pour d'autres. Ils ont tous en tête le challenge de se valoriser sur la scène européenne et de valoriser le club qui fêtera son 30ème anniversaire de présence en Coupe d'Europe "
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pascal64lons
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Je crois qu'on aura du mal à éviter un 0/3 d'ebtrée puisqu'on se coltine les 3 gros.Calendrier loin d'être cool....
La probabilité de commencer par un 0-5 existe...
Faudra ensuite garder la foi pour enchaîner sur un 6-3...
Après, si on veut exister, il nous faudra gagner au moins 1 match sur les 2 suivants (Aris, Naples). Seillant parle de glaner 2 victoires à l'extèrieur, ce sont celles-là qu'il faut viser!
Vu les roasters actuels, le Barça et la CSKA semblent intouchables et à un degré moindre Istambul. Ensuite, dans le cas ou notre équipe répond à nos attentes, un Gilchrist au top
, les autres paraissent jouables, même Trévise.Je pense qu'on en saura plus mi-octobre sur notre potentiel et sur le réalisme de nos objectifs!
Pour moi, le MSB tient une poule de haut-vol!! Je pense que pour eux ça s'avère plus compliqué que pour la SIG l'an passé. Les forumers semblent optimistes, tant mieux, mais je préfère être à notre place qu'à la leur.
La poule B semble beaucoup plus ouverte pour une qualif au top 16. C'est bien connu que l'herbe est toujours plus verte chez le voisin!!
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frédo64
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Personnellement je pense que ça va être trés trés dur.
On a 3 équipes intouchables déja (CSKA, Barça, Trévise) qu'on laissera faire mumuse dans le haut de la poule.Derrière ces 3, il ne reste donc plus que 2 places pour se qualifier.
Et la est le probleme, car Kaunas et l'Ulker présentent des rosters trés impressionants également et largement supérieurs au notre.
Toutefois, il reste la possibilité du meilleur 6eme mais Naples et l'Aris présentent des rosters qui n'ont rien a nous envier et qui sont surement même un peu meilleur que celui de l'élan.
Même si le groupe parait sur le papier moins fort que l'année dernière, si on s'y penche de plus prés, on voit que c'est du trés gros.En plus, cette année on n'a pas d'équipe vraiment en dessous comme le partizan l'année dernière.
On est le petit poucet du groupe, on a surement l'équipe la + faible sur le papier.
Mais le papier on s'en fout et c'est sur le terrain qu'il faudra montrer qu'on est pas en dessous des autres.
Les toles ça suffit!!! On veut revoir des exploits au palais
On a 3 équipes intouchables déja (CSKA, Barça, Trévise) qu'on laissera faire mumuse dans le haut de la poule.Derrière ces 3, il ne reste donc plus que 2 places pour se qualifier.
Et la est le probleme, car Kaunas et l'Ulker présentent des rosters trés impressionants également et largement supérieurs au notre.
Toutefois, il reste la possibilité du meilleur 6eme mais Naples et l'Aris présentent des rosters qui n'ont rien a nous envier et qui sont surement même un peu meilleur que celui de l'élan.
Même si le groupe parait sur le papier moins fort que l'année dernière, si on s'y penche de plus prés, on voit que c'est du trés gros.En plus, cette année on n'a pas d'équipe vraiment en dessous comme le partizan l'année dernière.
On est le petit poucet du groupe, on a surement l'équipe la + faible sur le papier.
Mais le papier on s'en fout et c'est sur le terrain qu'il faudra montrer qu'on est pas en dessous des autres.
Les toles ça suffit!!! On veut revoir des exploits au palais
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pascal64lons
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Pour ma part, je trouve l'effectif d'Istambul plus costaud que celui de Trévise mais bon.............
De toute façon, en EL il y a que du lourd, sauf nous bien sûr!! [/quote]
De toute façon, en EL il y a que du lourd, sauf nous bien sûr!!
[/quote]-
visiteur
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Chacun sa façon d'évaluer les forces en présence. Beaucoup s'appuient sur les CV et la notoriété des joueurs, je préfère jauger l'expérience du gars qu'on trouve en cravate sur le banc, même s'il ne fait pas tout.
Si on fait la synthèse de votre groupe, il y a bien sûr les 2 très gros morceaux que sont le CSKA et le Barça même s'il faut garder en mémoire pour ce dernier qu'Ivanovic se moque un peu du premier tour... Il assure (souvent dans les dernières journées...) la qualif et basta...
Derrière ces deux équipes, j'ai plus de mal à me faire une idée. Je garde de Trévise l'idée d'un club très bien coaché (Blatt) et de gens qui savent repérer de futurs talents (même si Gherardini est parti, ça se sentira peut être plus tard).
Pour Kaunas, c'est quand même l'institution lituanienne avec ce que ça implique... Ils ont eu quelques gros départs mais je me méfie toujours de ces clubs capables de sortir des jeunes dont personne n'a entendu parler avant qu'on ne les voit dans les compétitions européennes. En plus, grosse qualité de jeu.
L'Uker-Fehnerbahce... >De l'argent, du roster, avec là dedans un grand malade (Turkçan) et un joueur qui coûte bien cher pour ce qu'il apporte (Kutluay). Un coach inconnu à mes yeux...
Et pis les 2 chtis nouveaux, dont je ne sais quoi trop penser en fait... sauf qu'à mon avis, pour aller les taper chez eux, faudra y aller avec une certaine marge... L'Aris a une salle bouillante et Naples, j'ai du mal à me l'imaginer silencieuse...
Si on fait la synthèse de votre groupe, il y a bien sûr les 2 très gros morceaux que sont le CSKA et le Barça même s'il faut garder en mémoire pour ce dernier qu'Ivanovic se moque un peu du premier tour... Il assure (souvent dans les dernières journées...) la qualif et basta...
Derrière ces deux équipes, j'ai plus de mal à me faire une idée. Je garde de Trévise l'idée d'un club très bien coaché (Blatt) et de gens qui savent repérer de futurs talents (même si Gherardini est parti, ça se sentira peut être plus tard).
Pour Kaunas, c'est quand même l'institution lituanienne avec ce que ça implique... Ils ont eu quelques gros départs mais je me méfie toujours de ces clubs capables de sortir des jeunes dont personne n'a entendu parler avant qu'on ne les voit dans les compétitions européennes. En plus, grosse qualité de jeu.
L'Uker-Fehnerbahce... >De l'argent, du roster, avec là dedans un grand malade (Turkçan) et un joueur qui coûte bien cher pour ce qu'il apporte (Kutluay). Un coach inconnu à mes yeux...
Et pis les 2 chtis nouveaux, dont je ne sais quoi trop penser en fait... sauf qu'à mon avis, pour aller les taper chez eux, faudra y aller avec une certaine marge... L'Aris a une salle bouillante et Naples, j'ai du mal à me l'imaginer silencieuse...
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KINDER64
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Autant ils peuvent être fort avec ces 2 là, autant ces 2 vedettes peuvent leurs mettre l'équipe en l'airvisiteur a écrit :SiL'Uker-Fehnerbahce... >De l'argent, du roster, avec là dedans un grand malade (Turkçan) et un joueur qui coûte bien cher pour ce qu'il apporte (Kutluay). Un coach inconnu à mes yeux...
Un autre taré comme Art Long aurait fait une raquette de folie avec Turkçan
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Elan Forever
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Ah non, toi qui nous dit que nous avons un discours défaitiste tu vas pas commencer! On sera minimum à 2 victoires après 5 journées, point à la ligne...visiteur a écrit :Calendrier loin d'être cool....
La probabilité de commencer par un 0-5 existe...
Faudra ensuite garder la foi pour enchaîner sur un 6-3...
Mouais...c'est encore du très costaud pour cette année bon mais en même temps c'est pratiquement chaque année pareil donc à force on est préparé...Il est clair que 2 semblent quand même intouchables mais à Elan vaillant rien d'impossible
. et je crois pour ma part que c'est peut-être justement sur ces deux teams que l'on peut tenter un coup vu qu'on jouera sans doute encore plus libéré ses matchs la, en plus taper un gros ça fait toujours du bien au moral.Maintenant on est aussi un peu dans l'obligation de croire en cet Elan nouveau et de se motiver pour la gagne sur cette compétition car si on reste sur la tête sur le papier évidement on est un ton au dessous à priori mais à priori seulement peut-être
De toute façon comme bcp ici j'attends aussi de voir notre groupe évoluer afin d'avoir une première opinion sur nos chances supposées.
Qu'est-ce qu'un quasar ?
De l'anglais " quasi stellar ", les quasars sont un type particulier de radiosources, c'est-à-dire des astres qui émettent des ondes radioélectriques. Ces radiosources sont dites quasi stellaires parce qu'elles sont associées à des objets visibles sous forme de points lumineux comme les étoiles.
De l'anglais " quasi stellar ", les quasars sont un type particulier de radiosources, c'est-à-dire des astres qui émettent des ondes radioélectriques. Ces radiosources sont dites quasi stellaires parce qu'elles sont associées à des objets visibles sous forme de points lumineux comme les étoiles.
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Elan Forever
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Moi je parie sur la surprise d'entrée contre le Barça...Quasar a écrit :
Il est clair que 2 semblent quand même intouchables mais à Elan vaillant rien d'impossible
Maintenant on est aussi un peu dans l'obligation de croire en cet Elan nouveau et de se motiver pour la gagne sur cette compétition car si on reste sur la tête sur le papier évidement on est un ton au dessous à priori mais à priori seulement peut-être
De toute façon comme bcp ici j'attends aussi de voir notre groupe évoluer afin d'avoir une première opinion sur nos chances supposées.
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philip_pau
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" Dur, comme prévu "
Le tirage au sort de l’Euroligue a rendu son verdict jeudi à Athènes.
Pau a l’habitude
C’est à Athènes, ville hôte du prochain Final Four, que le tirage au sort de l’Euroligue 2006-2007 a été effectué ce jeudi. Discret depuis plusieurs saisons dans la compétition, le basket français comptera deux représentants dans la plus prestigieuse des coupes d’Europe. En vieil habitué, Pau-Orthez attendait de savoir à quelle sauce il serait une nouvelle fois mangé, lui qui n’a plus accédé au Top 16 depuis 2004. Dans le chapeau 6 du tirage au sort d’une première phase qui comporte trois groupes de 8 équipes, les Béarnais s’attendaient à tomber sur de gros morceaux. Ils ont été servis. Pour terminer parmi les cinq premiers qualifiés pour le Top 16 ou finir meilleur 6e, Pau devra sortir le grand jeu. A priori intouchables, le CSKA Moscou, sacré à Prague au printemps dernier et déjà adversaire des Palois lors de la dernière édition, le FC Barcelone, présent au Final Four, et Trévise, champion d’Italie, ne laisseront que des miettes aux joueurs de Gordon Herbert. Nouveau venu en Euroligue, l’Eldo Naples du Français Michel Morandais sera prenable alors que les déplacements sur les parquets de l’Aris Salonique et de l’Ulker Istanbul s’annoncent bouillants comme d’habitude. L’an dernier, les Stambouliotes s’étaient d’ailleurs baladés sur les bords du Bosphore (87-55) comme en Béarn (95-85) face aux Palois.
(Source : http://www.sport24.com)
" Du très lourd, forcément "
Du côté de Pau, on a accueilli le résultat du tirage au sort avec le fatalisme d'une longue pratique. Le " direx " Pierre Seillant résumait : " Une fois de plus on a tiré le gros lot. C'est le groupe à mon avis le plus difficile, en tout cas le plus brillant, le plus flamboyant puisqu'il va y réunir le champion d'Europe en titre (CSKA Moscou) qui nous avait barré la course du Final Four d'une belle en 1996, Barcelone qui est un grand d'Espagne avec deux ou trois joueurs champions du Monde. Le Benetton Trévise, ou l'on a plus souvent perdu que gagné....Istanbul (Fenerbahçe Ulker), on connaît. On a guerroyé il y a une vingtaine d'années avec l'Aris Salonique. Naples est une grosse équipe qui monte en Italie et surtout Kaunas, qui est le club lituanien de toujours. Cela fait cinq costauds avec l'Aris, Naples et nous qui semblons être un peu en dessous ". En appel d'une poule 2005-2006 avec seulement 4 victoires pour 10 défaites, Pau ne parle pas du Top 16 mais espère bien faire mieux cette année.
(Source : Le Journal L'EQUIPE)
" Le haut du panier "
ELAN BEARNAIS. Le tirage a notamment désigné le CSKA Moscou, Barcelone et Trévise pour adversaires des Palois.
Comme l'an dernier, l'Elan devra défier le CSKA Moscou. « La différence, cette année, c'est qu'ils sont champions d'Europe », précise Pierre Seillant.
EUROLIGUE
L'Elan est désormais fixé : sa saison européenne ne sera pas de tout repos. Comme l'on pouvait s'y attendre, hier à Athènes, les dieux n'ont pas forcément été cléments avec l'équipe béarnaise, lui attribuant un groupe extrêmement relevé en Euroligue. « Le plus difficile », selon le président Pierre Seillant qui se sent « martyrisé chaque année ».
Passage en force. En écopant du CSKA Moscou, champion d'Europe en titre, de Barcelone, impressionnant au niveau de son recrutement, de Trévise ou Fernerbace, Pau, considérée de sixième niveau, n'a pas été épargné. Derrière ces monstres, il faudra batailler pour accrocher une cinquième place, synonyme de qualification pour le Top 16. Face à Naples, Kaunas ou Salonique, les Palois n'auront vraisemblablement pas le droit à l'erreur, s'ils veulent se glisser en deuxième phase.
« C'est une poule flamboyante : nous n'aurons strictement rien à perdre, estime le président. Il faudra impérativement gagner plus de rencontres à domicile par rapport à la saison dernière et je pense qu'on sera capable d'aller faire quelques surprises à l'extérieur. Si nous avons la chance d'attraper un gros, ce serait d'autant plus magnifique ». Cette saison n'est-elle pas celle de la reconquête ?
Départ en fanfare. Hasard du calendrier, les hommes de Gordon Herbert devront se coltiner des ténors lors des premières sorties : dans l'ordre, le tiercé d'octobre-novembre donne Barcelone, Fernerbace et Moscou. L'automne sera rude. Dès l'entame ils devront avoir les mains chaudes. Pour ne pas sombrer avant l'hiver.
(Source : http://www.sudouest.com)
" Char russe et bel canto italien "
Le CSKA Moscou, champion d'Europe, Barcelone et Trévise reviendront en Béarn. A découvrir: Naples et l'Aris.
C'est chaud, mais cela aurait pu être pire. Le tirage au sort de l'Euroligue effectué hier à Athènes, cadre du prochain Final Four, n'a pas tué dans l'oeuf les espoirs d'un retour au Top 16 pour l'Elan qui, fin octobre face au grand Barça et le champion du monde Navarro, débutera sa 30e saison internationale.
Bien sûr, le CSKA Moscou et son effectif quasi-inchangé (Papaloukas, Holden, Andersen, Langdon....), poids lourd continental enfin titré après 35 ans de disette, constituent un morceau particulièrement indigeste.
Evidemment, le mythique FC Barcelone, revu et corrigé (Lakovic-Basile à la mène, Vasquez-Kakiousis-Kasun-Marconato dessous !) fait peur à voir. Il est certain aussi que Trévise, quintuple champion d'Italie, reste une valeur très sûre même si le Grec Zisis est rentré du Mondial la mâchoire fracturée. D'ailleurs, sans pour autant crier au loup, Pierre Seillant ne s'y trompe pas: " Une fois de plus, on a tiré le gros lot. C'est le groupe le plus flamboyant puisqu'il va réunir le champion, un grand d'Espagne, Trévise ou on a plus souvent perdu que gagné ", Exact. Les trois premiers tickets qualificatifs (sur 5, voire 6 disponibles) semblent déjà verouillés.
[center]" Drôle d'histoire turque "[/center]
Mais, sur le papier en tout cas, le coup paraît néanmoins envisageable. Il faudra pour cela jouer les yeux dans les yeux avec de vieilles connaissances du Zalgiris Kaunas (dernier duel en 1999), ou encore cette curieuse entité qu'est devenue la formation d'Ulker-Fenerbahçe en lieu et place du champion national disparu...pour cause de retrait du sponsor-propriétaire !
Une drôle d'histoire stambouliote qui ne change rien sur le fond car l'argent coule toujours à flots sur les bords du Bosphore. Assez en tout cas pour attirer un fameux joueur en la personne du meneur Will Salomon, finaliste sortant sous le maillot de Tel-Aviv. Cette Euroligue, avec laquelle l'Elan n'a plus de bail garanti, nous invite aussi à un effort de mémoire. Les aléas du tirage propose en effet de (re)découvir l'Aris Salonique venue chauffer la Moutète il y a près de 20 ans avec le tandem Gallis-Giannakis.
Aujourd'hui, le club grec fait figure de rookie, vierge de toute expérience dans cette épreuve. La remarque vaut également pour les Napolitains du shooteur français Michel Morandais, essayé en sélection par Claude Bergeaud. Les Palois n'ont encore jamais visité la baie de Naples, " mais c'est une grosse équipe qui monte ", indique le directeur exécutif comme pour prévenir tout excès de confiance au pays du bel canto. " Le sort ne nous est pas très favorable par rapport aux autres groupes ", estime-t-il aussi. Il nous faudra gagner plus souvent à Pau. Je pense qu'on sera capable d'aller faire quelques surprises à l'extérieur. Notre équipe est bien équilibrée, avec de bonnes individualités, un bon collectif. On défend très bien ".
Ce terrible révélateur qu'est l'Euroligue ne supporte de toute façon aucune approximation. L'Elan, vainqueur seulement 7 fois en 28 rencontres lors des deux précédentes saisons, a assez payé pour l'apprendre.
(Source : Le Journal La République des Pyrénées)
Le tirage au sort de l’Euroligue a rendu son verdict jeudi à Athènes.
Pau a l’habitude
C’est à Athènes, ville hôte du prochain Final Four, que le tirage au sort de l’Euroligue 2006-2007 a été effectué ce jeudi. Discret depuis plusieurs saisons dans la compétition, le basket français comptera deux représentants dans la plus prestigieuse des coupes d’Europe. En vieil habitué, Pau-Orthez attendait de savoir à quelle sauce il serait une nouvelle fois mangé, lui qui n’a plus accédé au Top 16 depuis 2004. Dans le chapeau 6 du tirage au sort d’une première phase qui comporte trois groupes de 8 équipes, les Béarnais s’attendaient à tomber sur de gros morceaux. Ils ont été servis. Pour terminer parmi les cinq premiers qualifiés pour le Top 16 ou finir meilleur 6e, Pau devra sortir le grand jeu. A priori intouchables, le CSKA Moscou, sacré à Prague au printemps dernier et déjà adversaire des Palois lors de la dernière édition, le FC Barcelone, présent au Final Four, et Trévise, champion d’Italie, ne laisseront que des miettes aux joueurs de Gordon Herbert. Nouveau venu en Euroligue, l’Eldo Naples du Français Michel Morandais sera prenable alors que les déplacements sur les parquets de l’Aris Salonique et de l’Ulker Istanbul s’annoncent bouillants comme d’habitude. L’an dernier, les Stambouliotes s’étaient d’ailleurs baladés sur les bords du Bosphore (87-55) comme en Béarn (95-85) face aux Palois.
(Source : http://www.sport24.com)
" Du très lourd, forcément "
Du côté de Pau, on a accueilli le résultat du tirage au sort avec le fatalisme d'une longue pratique. Le " direx " Pierre Seillant résumait : " Une fois de plus on a tiré le gros lot. C'est le groupe à mon avis le plus difficile, en tout cas le plus brillant, le plus flamboyant puisqu'il va y réunir le champion d'Europe en titre (CSKA Moscou) qui nous avait barré la course du Final Four d'une belle en 1996, Barcelone qui est un grand d'Espagne avec deux ou trois joueurs champions du Monde. Le Benetton Trévise, ou l'on a plus souvent perdu que gagné....Istanbul (Fenerbahçe Ulker), on connaît. On a guerroyé il y a une vingtaine d'années avec l'Aris Salonique. Naples est une grosse équipe qui monte en Italie et surtout Kaunas, qui est le club lituanien de toujours. Cela fait cinq costauds avec l'Aris, Naples et nous qui semblons être un peu en dessous ". En appel d'une poule 2005-2006 avec seulement 4 victoires pour 10 défaites, Pau ne parle pas du Top 16 mais espère bien faire mieux cette année.
(Source : Le Journal L'EQUIPE)
" Le haut du panier "
ELAN BEARNAIS. Le tirage a notamment désigné le CSKA Moscou, Barcelone et Trévise pour adversaires des Palois.
Comme l'an dernier, l'Elan devra défier le CSKA Moscou. « La différence, cette année, c'est qu'ils sont champions d'Europe », précise Pierre Seillant.
EUROLIGUE
L'Elan est désormais fixé : sa saison européenne ne sera pas de tout repos. Comme l'on pouvait s'y attendre, hier à Athènes, les dieux n'ont pas forcément été cléments avec l'équipe béarnaise, lui attribuant un groupe extrêmement relevé en Euroligue. « Le plus difficile », selon le président Pierre Seillant qui se sent « martyrisé chaque année ».
Passage en force. En écopant du CSKA Moscou, champion d'Europe en titre, de Barcelone, impressionnant au niveau de son recrutement, de Trévise ou Fernerbace, Pau, considérée de sixième niveau, n'a pas été épargné. Derrière ces monstres, il faudra batailler pour accrocher une cinquième place, synonyme de qualification pour le Top 16. Face à Naples, Kaunas ou Salonique, les Palois n'auront vraisemblablement pas le droit à l'erreur, s'ils veulent se glisser en deuxième phase.
« C'est une poule flamboyante : nous n'aurons strictement rien à perdre, estime le président. Il faudra impérativement gagner plus de rencontres à domicile par rapport à la saison dernière et je pense qu'on sera capable d'aller faire quelques surprises à l'extérieur. Si nous avons la chance d'attraper un gros, ce serait d'autant plus magnifique ». Cette saison n'est-elle pas celle de la reconquête ?
Départ en fanfare. Hasard du calendrier, les hommes de Gordon Herbert devront se coltiner des ténors lors des premières sorties : dans l'ordre, le tiercé d'octobre-novembre donne Barcelone, Fernerbace et Moscou. L'automne sera rude. Dès l'entame ils devront avoir les mains chaudes. Pour ne pas sombrer avant l'hiver.
(Source : http://www.sudouest.com)
" Char russe et bel canto italien "
Le CSKA Moscou, champion d'Europe, Barcelone et Trévise reviendront en Béarn. A découvrir: Naples et l'Aris.
C'est chaud, mais cela aurait pu être pire. Le tirage au sort de l'Euroligue effectué hier à Athènes, cadre du prochain Final Four, n'a pas tué dans l'oeuf les espoirs d'un retour au Top 16 pour l'Elan qui, fin octobre face au grand Barça et le champion du monde Navarro, débutera sa 30e saison internationale.
Bien sûr, le CSKA Moscou et son effectif quasi-inchangé (Papaloukas, Holden, Andersen, Langdon....), poids lourd continental enfin titré après 35 ans de disette, constituent un morceau particulièrement indigeste.
Evidemment, le mythique FC Barcelone, revu et corrigé (Lakovic-Basile à la mène, Vasquez-Kakiousis-Kasun-Marconato dessous !) fait peur à voir. Il est certain aussi que Trévise, quintuple champion d'Italie, reste une valeur très sûre même si le Grec Zisis est rentré du Mondial la mâchoire fracturée. D'ailleurs, sans pour autant crier au loup, Pierre Seillant ne s'y trompe pas: " Une fois de plus, on a tiré le gros lot. C'est le groupe le plus flamboyant puisqu'il va réunir le champion, un grand d'Espagne, Trévise ou on a plus souvent perdu que gagné ", Exact. Les trois premiers tickets qualificatifs (sur 5, voire 6 disponibles) semblent déjà verouillés.
[center]" Drôle d'histoire turque "[/center]
Mais, sur le papier en tout cas, le coup paraît néanmoins envisageable. Il faudra pour cela jouer les yeux dans les yeux avec de vieilles connaissances du Zalgiris Kaunas (dernier duel en 1999), ou encore cette curieuse entité qu'est devenue la formation d'Ulker-Fenerbahçe en lieu et place du champion national disparu...pour cause de retrait du sponsor-propriétaire !
Une drôle d'histoire stambouliote qui ne change rien sur le fond car l'argent coule toujours à flots sur les bords du Bosphore. Assez en tout cas pour attirer un fameux joueur en la personne du meneur Will Salomon, finaliste sortant sous le maillot de Tel-Aviv. Cette Euroligue, avec laquelle l'Elan n'a plus de bail garanti, nous invite aussi à un effort de mémoire. Les aléas du tirage propose en effet de (re)découvir l'Aris Salonique venue chauffer la Moutète il y a près de 20 ans avec le tandem Gallis-Giannakis.
Aujourd'hui, le club grec fait figure de rookie, vierge de toute expérience dans cette épreuve. La remarque vaut également pour les Napolitains du shooteur français Michel Morandais, essayé en sélection par Claude Bergeaud. Les Palois n'ont encore jamais visité la baie de Naples, " mais c'est une grosse équipe qui monte ", indique le directeur exécutif comme pour prévenir tout excès de confiance au pays du bel canto. " Le sort ne nous est pas très favorable par rapport aux autres groupes ", estime-t-il aussi. Il nous faudra gagner plus souvent à Pau. Je pense qu'on sera capable d'aller faire quelques surprises à l'extérieur. Notre équipe est bien équilibrée, avec de bonnes individualités, un bon collectif. On défend très bien ".
Ce terrible révélateur qu'est l'Euroligue ne supporte de toute façon aucune approximation. L'Elan, vainqueur seulement 7 fois en 28 rencontres lors des deux précédentes saisons, a assez payé pour l'apprendre.
(Source : Le Journal La République des Pyrénées)
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visiteur
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Nan être défaitiste, c'est justement de se dire qu'après un 0-5 initial, bah on va se consacrer à la Pro A...Elan Forever a écrit :Ah non, toi qui nous dit que nous avons un discours défaitiste tu vas pas commencer! On sera minimum à 2 victoires après 5 journées, point à la ligne...visiteur a écrit :Calendrier loin d'être cool....
La probabilité de commencer par un 0-5 existe...
Faudra ensuite garder la foi pour enchaîner sur un 6-3...
Alors qu'à mon avis, ça resterait jouable vu le calendrier.
Maintenant, battre le Barça n'est pas une hypothèse totalement farfelue lors du game 1. Grosse quote certes, mais pas farfelue.
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Monstertruck64
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Elan Forever a écrit :Moi je parie sur la surprise d'entrée contre le Barça...Quasar a écrit :
Il est clair que 2 semblent quand même intouchables mais à Elan vaillant rien d'impossible
Maintenant on est aussi un peu dans l'obligation de croire en cet Elan nouveau et de se motiver pour la gagne sur cette compétition car si on reste sur la tête sur le papier évidement on est un ton au dessous à priori mais à priori seulement peut-être
De toute façon comme bcp ici j'attends aussi de voir notre groupe évoluer afin d'avoir une première opinion sur nos chances supposées.
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Non ! Il l'a dit !Monstertruck64 a écrit :Le directeur de Pau-Orthez, Pierre Seillant, a réagi après le tirage au sort des poules d'Euroligue, jeudi à Athènes, expliquant qu'il s'agit d'un groupe très difficile, où ses joueurs sont quasiment condamnés à l'exploit.
Pierre Seillant : «Une fois de plus on a tiré le gros lot. C'est le groupe à mon avis le plus difficile, en tout cas le plus brillant, le plus flamboyant puisqu'il va réunir le champion d'Europe en titre (CSKA Moscou) qui nous avait barré la course du Final Four lors d'une belle en 1996. Ensuite, il y a Barcelone, grand d'Espagne avec deux ou trois joueurs champions du monde avec l'Espagne. On a également le Benetton Trévise, où on a plus souvent perdu que gagné, ou encore Istanbul, qu'on connaît : on a guerroyé il y a une vingtaine d'années avec l'Aris Salonique. Enfin, Naples est une grosse équipe qui monte en Italie, et Kaunas est le club lituanien de toujours. Ils sont cinq costauds et l'Aris, Naples et nous qui semblons être un peu en-dessous. C'est une poule superbe, ça sera très dur pour tout le monde, il n'y aura pas de match facile. Ceux qui connaissent le basket savent bien que le sort ne nous est pas très favorable par rapport aux autres groupes. On n'aura rien à perdre, il nous faudra gagner plus souvent à Pau et je pense qu'on sera capable d'aller faire quelques surprises à l'extérieur. Notre équipe est bien équilibrée, avec de bonnes individualités, un bon collectif, on défend très bien, on va être athlétique dans la raquette, pas volumineux mais on va jouer haut».
Sacré Pierrot ! Il va encore en faire pleurer plus d'un !
J'aime quand il exagére comme cela et qu'il sait au fond de lui qu'il y a un coup à jouer...
Bon, quand on arrête les délires seillantesques, on voit qu'il n'y a pas de petite équipe, comme votre Partizan de l'an passé, mais beaucoup d'équipes prenables. Derrière Barcelone et Moscou, Trévise n'est pas invincible. Ils ne me semblent pas plus fort que l'an passé et la SIG n'avait perdu contre eux que de justesse à chaque fois (et en raison d'un gros ratage aux LF). C'est donc faisable.
Le reste : Kaunas, faut pas l'enterrer trop vite. Naples, je ne sais pas, les promus italiens se réveillent assez tard en général. ARIS : injouable chez eux, à battre à Pau. Fenerbahce : je ne connais pas bien l'équipe et encore moins le coach.