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PRO A : SAISON 2006/2007[/center][/updown]
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PRO A : SAISON 2006/2007[/center][/updown]
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14eme JOURNEE : Match ALLER[/center]
EB PAU-ORTHEZ: 72
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JDA DIJON: 78[/right]
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" MVP :
MICHAEL WRIGHT 
:
18 pts (8/12 aux tirs), 11 rbds (dont 5 off.) pour une éval de 21 "[/scroll]
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" Surpris à domicile dimanche par Dijon, 72-78, Pau-Orthez reste treizième "
Pau-Orthez –
Dijon :
72-
78
À la trêve, Pau-Orthez occupe une inquiétante treizième place et ne parvient pas à décoller, restant sur deux défaites. En tête à la mi-temps, les Palois ont encaissé un 22-7 lors du troisième quart-temps, et n’ont pu revenir par la suite. Le meneur All-Star Laurent Sciarra a marqué 14 points, assortis de 6 rebonds et 6 passes. L’ancien Palois T.J. Lux a pour sa part fait souffrir ses anciens coéquipiers avec 21 points, 4 rebonds et 3 passes. Pour l’Élan, Michael Wright a cumulé 18 points et 11 rebonds, C.C. Harrison ayant ajouté 17 points, 3 rebonds et 2 passes. Enfin, Xane D’Almeida a fait son meilleur match de la saison en Pro A avec 9 points et 6 rebonds.
" Stats du match Elan / JDA Dijon "
http://www.lnb.fr/?pid=6&game=2032
" Classement Général provisoire "
http://www.lnb.fr/index.php?pid=7
(Source :
http://www.lnb.fr)
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" EB PAU-ORTHEZ 72 / JDA DIJON 78 "
Enfin, l'ultime rencontre avant la trève a vu la défaite de Pau-Orthez à domicile face à Dijon (72-78.), qui poursuit dans sa spirale de réussite en signant sa quatrième victoire consécutive. Les Palois ont de quoi nourrir des regrets, puisqu'à la mi-temps, ils menaient 45-38. Mais côté JDA, Laurent Sciarra a démontré que ses adducteurs ne le gênaient plus en inscrivant 14 points (6 rebonds défensifs) tandis que Maleye N'Doye (17) et TJ Lux (21) étaient particulièrement en réussite aux tirs.
(Source :
http://www.lequipe.fr)
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" Pau continue sa descente "
Enfin, Pau-Orthez n’a semble-t-il pas encore digéré la gifle reçue à Barcelone en Euroligue en milieu de semaine. Malgré la bonne prestation de Michael Wright (18 points en 30 minutes), les Béarnais ont coulé au Palais des Sports devant Dijon (72-78.) et un TJ Lux revanchard (21 unités, 4 rebonds, 3 interceptions). Les protégés de Gordon Herbert restent désespérément en fond de classement.
(Source :
http://www.sport24.com)
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" Les Béarnais dans le piège "
LES PALOIS sont rentrés au vestiaire hier avec une troisième défaite à domicile (72-78.) et une bronca devenue récurrente dans la gorge de leurs supporters. Si l'Elan n'est pas mathématiquement hors de portée de la Semaine des As, il est plus que probable qu'il la manquera.
C'est même la perspective des play-offs qui, aujourd'hui, assombrit le directeur exécutif Pierre Seillant
: "
Il sera long et difficile d'accrocher la hutième place...On ne va pas dire que nous sommes relégables mais on gâche beaucoup de choses au Palais des Sports ".
Le " direx " était assez remonté après l'échec contre une JDA Dijon battue de 32 points la saison dernière ici même et qui n'avait plus connu le bonheur de gagner à Pau depuis novembre 1994 (84-91). "
Il y a trop de gens transparents, et non des moindres. Notre cinq majeur est bien payé mais il faut trouver un leader et nous souffrons du manque d'investissement de nos cadres, analysait Pierre Seillant.
J'ai le sentiment que l'Elan est exploité. On va débriefer cela lundi avec le staff et il faudra m'expliquer ce qui se passe.... ". Le discours visait les joueurs en priorité. Reste qu'avec ce neuvième revers en Pro A, Pau a déjà connu plus de défaites que toute la saison dernière. Pour tout arranger, Thierry Rupert a quitté les lieux avec une suspicion de déchirure sur l'arrière de la cuisse droite.
Côté dijonnais, on s'en doute, c'était une tout autre musique. Jacques Monclar
goûtait le nectar du jour : "
On savait que Pau était une équipe de séquences et il fallait arriver à la contrer. Nous n'avons pas été assez combatifs en première période mais, ensuite, on a su poser des pièges. Notre défense est redevenue plus collective et nos différentes zones ont réussi à les faire douter. Gganer à Pau n'est jamais neutre ".
Avec huit points consécutifs de Ludo Vaty à cheval sur les deux premiers quarts et un très solide CC Harrison , Pau parvint à la 21e sur un petit matelas (48-38.). Mais , entre le troisième tir primé de Sciarra, un Mario Bennett contrôlant bien Michael Wright, de belles avriantes en zone et un repli béarnais défaillant, Dijon trouva les arguments d'un 17-2, puis d'un 22-7 dans le troisième quart.
Certes, Pau-Orthez revint à hauteur (70-70, 37e) mais ne sut trouver les solutions décisives alors que Dijon parvenait à survivre tout en restant fragile sur la ligne de réparation.
: " C'est un vrai cauchemar, concluait Cédric Ferchaud.
C'est en permanence le chaud et le froid : nous avons été absents en défense et nous n'avons jamais réussi à attaquer leur zone ". Pau n'a plus que la venue d'Ulker Fenerbahçe, pour retrouver le sourire avant la trêve.
(Source : L'EQUIPE)
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" L'Elan s'enfonce "
PAU-ORTHEZ - DIJON.
Troisième défaite à domicile des Palois qui sont hors course pour la Semaine des As en février.
PRO A (15e JOURNEE)
La cinquième édition de la Semaine des As se jouera sans Pau-Orthez. C'est la première conséquence du revers concédé face à Dijon. Treizième au classement, avec deux victoires de retard sur un groupe de cinq équipes à la lutte pour l'une des huit invitations qui seront allouées à la fin de la phase aller, l'Elan manquera donc le premier rendez-vous important de la saison.
«
Le constat n'est pas bon, je suis déçu par ce qui se passe même si les As n'étaient pas une priorité », avouait hier soir Pierre Seillant.
Cette troisième défaite à domicile en Pro A, après celles concédées devant Gravelines et Roanne, ne devrait pas, a priori, faire de dégâts collatéraux. Le directeur exécutif palois, n'en a ni l'envie ni la latitude : «
Aucune décision ne sera prise, ni à chaud, ni à froid. On ne peut changer qu'un joueur, or il n'y a personne sur le marché, et je ne vais pas me payer un deuxième coach la même année (Ndlr, Didier Gadou avait été remercié à l'intersaison alors qu'il lui restait une année de contrat)
, ce n'est pas mon genre ».
Mais le « Prési » a malgré tout revu son agenda de début de semaine et recevra ce matin le coach canadien Gordon Herbert et Laurent Mopsus, son adjoint. «
J'ai besoin qu'ils me disent ce qui se passe dans ce groupe. Pourquoi on perd et qu'apparemment les joueurs vivent ça bien, pourquoi certains d'entre eux semblent perdus, apeurés, traumatisés. Il va falloir qu'ils m'expliquent certaines choses. »
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TJ Lux, ici face à Rupert, a été le meilleur scoreur de la partie.[/center]
Trou noir. Herbert devra notamment se justifier de son impuissance, hier dans le troisième quart-temps, lorsque son équipe passa de + 10 (48-38.) à - 8 (52-60) en l'espace de neuf minutes. Entrés mollement dans la partie, laissant les shooteurs bourguignons prendre confiance (cinq paniers à trois points en 10 mn) et le duo Lux-Bennett s'installer dans la raquette (11-17 puis 20-25), les Palois avaient pourtant, ensuite, montré du mordant, avec notamment un bon passage du jeune pivot Ludovic Vaty.
Mais au retour des vestiaires, derrière un tir primé de CC Harrison (48-38.) tout le monde s'arrêtait de jouer. En face, Sciarra montrait à Miles ce qu'est un vrai patron : le meneur plaçait et déplaçait ses équipiers comme des pièces d'échec, trouvait TJ Lux dans la peinture, accélérait quand il le fallait, ralentissait quand le jeu le commandait sans oublier de scorer de loin. Les Palois, désespérément absents dans le repli, véritables agneaux près des cercles et incroyablement maladroits (3/17 dans ce quart-temps) encaissaient un 17-2 sans que cela ne semble les décoiffer !
La bronca du public faisait son effet à l'entame du quatrième quart-temps. Michaël Wrigth rapprochait son équipe à 62-68 et Xane d'Almeida secouait les Dijonnais avec deux paniers à trois points, un contre sur N'Doye et deux gros rebonds. L'Elan égalisait à trois minutes du buzzer (70-70) mais manquait de maîtrise pour finir.
Pau-Orthez verra donc la Semaine des As à la télévision, en février prochain. Cet échec et sa treizième place en Pro A doivent résonner comme une alarme et son bon parcours en Euroligue ne pas cacher ses insuffisances. Car si rien ne change, le play-off risque également de se jouer sans lui.
(Source :
http://www.sudouest.com)
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" Cauchemardesque 3ème quart temps "
Ce n’était pas mal parti, certes l’Elan avait mis quelques 14 minutes à calmer les ardeurs et surtout la belle adresse dijonnaise pour rétablir l’équilibre à 29, mais tout de suite après CC Harrison lui avait donné son premier avantage (35-33), celui-ci confirmé par Johnsen (38-35). Et puis Ludovic Vaty était venu au relais de Wright confirmer les belles dispositions entrevues lors des matches amicaux et le jeune espoir de 18 ans tout juste avait même contribué de ses 8 points au rapproché de l’Elan. Il avait de toute évidence pris le dessus sur Aka, l’ancien pensionnaire du centre de formation béarnais venu lui, suppléer Bennett.
Ludovic Vaty toujours lui s’était même, du moins le croyait-il, et tout le palais avec lui, offert un superbe contre sur ce même Bennet vite revenu aux affaires, mais les arbitres le validèrent d’une faute qui fit gronder l’arène… La bronca eu le bon goût de stimuler davantage encore l’Elan et il se dégageait avant le repos (45-38.)…
Un pécule que d’entrée de reprise CC Harrison faisait grimper de trois unité supplémentaires (48-38.) alors que Dijon avait décidé d’installer une défense de zone….
Et c’est bien cette stratégie qui cloua l’Elan au pilori, qui explique que ce soit si mal terminé… Car non content d’échouer avec une belle régularité sur cette bonne vieille zone (3 paniers dans le quart temps dont celui initial de CC Harrison), l’Elan qui oublia au passage qu’il existait aussi le jeu intérieur pour la faire exploser (deux maigres lancer francs à shooter), oublia surtout les principes élémentaires du repli défensif… Alors Dijon, avec en figure de proue un TJ lux qu’il fallait bien attendre de luxe, se régala du jeu rapide du jeu de transition et fit boire la tasse à un adversaire soudain emprunté, sans aucun contrôle et sans leadership affirmé… Au terme d’un 17-2 acquis grande difficulté, les bourguignons reprenaient le score (55-50) et s’offraient encore un 6-0 avant la sonnerie de la demi-heure. (60-52). C'est-à-dire que l’Elan avait rendu 7 petites unités aux 22 de l’adversaire en l’espace de dix minutes qui scellèrent sa perte on l’imagine…
Puisque mis de la sorte en toute confiance, Dijon enfonçait encore un peu plus le clou portant son avance à 11 points à 7 minutes de la fin (66-55)…
Interpellé par son palais l’Elan entama alors une course contre la montre qui lui fit entrevoir la lumière lorsque sur deux paniers primés de Miles et d’Almeida, il trouvait enfin al solution à la zone et se remettait dans le match (68-70) avec plus de 4 minutes à courir…
Le vent semblait même tourner une fois encore puisque d’Almeida malheureux sur une pénétration revenait ventre à terre se racheter en contrant N’Doye parti seul en contre attaque et que dans la foulée Michael Wright qui ne ménageait pas sa peine pour porter les siens obtenait l’égalisation à 70 manquant même le lancer bonus qui aurait remis l’Elan en tête…
La main de Johnson ne tremblant pas, l’Elan se retrouvait à moins 3 et y restait suite à l’échec d’Harrison (75-72)… Il était même à deux possessions suite à un lancer de Bennet et moins de deux minutes à jouer (72-76) et là encore son manque de maîtrise fut flagrant puisqu’il ne fut pas en mesure d’inscrire le moindre point supplémentaire, allant d’échec en balles perdues… Mais sans doute , n’est-ce pas dans ces moments là qu’il avait perdu le match qui le mettait désormais en situation délicate, non c’est bel et bien dans le troisième quart qu’il avait vécu un véritable cauchemar… Avec lequel il se réveillera ce matin, à l’heure ou le directeur exécutif rencontrera son staff…
(Source :
http://www.elan-bearnais.fr)
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LA REPUBLIQUE DES PYRENEES[/center]
" Cette fois, il y a le feu au Palais "
Treizième au classement, pratiquement mis hors course pour les As, l'Elan est indigne de son statut en Championnat. le mal semble profond.
Il y a longtemps que nous n'avions pas vu le vestiaire palois aussi dévasté. Un silence de mort régnait, hier soir, dans la pièce des joueurs après le 3e échec, logique, subi à domicile, 72-78, face aux Dijonnais vainqueurs de leur 6e partie consécutive, toutes compétitions confondues.
Bien sûr, la compétition nationale ne s'arrête pas à la 15e journée.
Mais, presque à mi-parcours, l'Elan, désormais pratiquement assuré (1) de briller par son absence (pour la seconde fois en trois ans) lors du premier grand rendez-vous de la saison, la Semaine des As en février à Nancy, pointe désormais à une piteuse 13e place. Ce rang est indigne de son statut.
Défait à neuf reprises, il a déjà fait pire que sur l'intégralité du précédent championnat et continue de renvoyer à ses supporters, de plus en plus excédés, l'image d'une équipe imprévisible, incapable de s'imposer sur un minimum de cohérence des deux côtés du terrain.
"
Nous savions que Pau était une équipe de séquences, il fallait donc arriver à la contrer ", relevait d'ailleurs avec gourmandise Jacques Monclar.
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Un vrai cauchemar "[/center]
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Grâce à nos différentes zones, et avec aussi une défense plus collective, on a su poser des pièges pour faire douter les Palois après la première période ou nous n'avions pas été assez combatifs ", ajoutait l'ancien entraîneur de l'Elan qui, hier, a accompli le même forfait que son lointain prédécesseur Jean-Luc Monschau déjà venu s'imposer en Béarn avec la JDA au mois de Novembre 1994 (91-84).
Monclar, ce vieux singe de Sciarra (1ere évaluation du match), un TJ Lux revanchard (21 points, meilleur scoreur) et leurs partenaires ont réédité le coup réussi cette saison par Gravelines et Roanne, jetant du même coup aux oubliettes l'image du fief imprenable qu'était naguère le Palais des Sports.
Gordon Herbert, bien incapable de trouver une solution face aux échecs répétés de ses joueurs devant la zone bourguignone, tout aussi impuissant lors du 3e quart-temps soldé par un épouvantable 22 à 7 (!), n'ignore rien de tout cela.
"
Avec les As, c'est un premier objectif qui s'envole et je suis bien sûr déçu. Mais ce qui me navre le plus, c'est de voir notre classement ", soupirait hier soir le successeur de Didier Gadou.
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Le chaud et le froid "[/center]
L'Elan, trop dépendant en attaque du tandem Harrison - Wright, venait pour la 5e fois de suite en Pro A de rester scotché sous la barre des 75 points avec un niveau d'adresse insuffisant (43% de moyenne).
"
On ne va pas baisser les bras mais c'est un vrai cauchemar ", déplorait de son côté Cédric Ferchaud. "
Maintenant, il faut se regarder dans la glace et essayer de comprendre pourquoi nous alternons toujours le chaud et le froid ".
C'est effectivement LA bonne question, celle qui taraude tous les esprits depuis maintenant plusieurs mois. Une réponse rapide est souhaitable car, sans vouloir hurler avec les loups, il n'est guère déplacé d'écrire que l'Elan a le feu aux trousses.
Tout comme il n'est pas banal d'entendre Pierre Seillant évoquer, même à mots couverts, la possibilité de voir son club rater pour la première fois depuis des lustres le train du play-off. Et pourtant.....
(1) A ce jour, il existe encore une possibilité mathématique de voir l'Elan aux As puisque, à deux journées du verdict, il ne compte " que " deux victoires de retard sur les clubs classés 7ex-aequo.
" Rupert blessé "
Une mauvaise nouvelle n'arrivant jamais seule, Tihierry Rupert a du s'arrêter hier sur blessure. Il passera aujourd'hui un examen après avoir ressenti une vive douleur derrière la cuisse droite.
" Pierre Seillant : " L'Elan est exploité " "
"
Dépité ", pour le moins "
perplexe ", il n'est même pas passé par le vestiaire, hier soir, pour dire sa façon de penser aux joueurs. Avant le debriefing prévu ce matin, ceux-ci pourront donc prendre la températeur du directeur exécutif à la lecture de cette longue déclaration.
Pierre Seillant : "
Il y a eu trop de gens transparents (dans l'équipe), et non des moindres. Ils se reconnaîtront...Je ne sais pas ce qu'il se passe dans le groupe mais le club n'est pas payé en retour. J'ai le sentiment que l'Elan est exploité. Je ne sens pas des joueurs qui se donnent entièrement. Il y a un manque d'investissement des cadres, un leader à trouver aussi. Pourtant, notre cinq majeur est très bien payé ! Ce soir (hier)
, nous n'avons pas pris une leçon de basket, mais de réalisme(...) La bronca du public est méritée(...) Aucune décision ne sera prise, ni à chaud, ni à froid. On ne peut quand même pas se payer deux entraîneurs par an ! L'effectif ? Nous n'avons qu'une possibilité de changement, les évènements dicteront notre conduite (....). Il va falloir m'expliquer la situation, si quelqu'un le peut. Nous sommes soumis au régime de la douche écossaise, je n'ai jamais vécu une saison aussi difficile. Oui, je suis inquiet pour l'avenir. Ma patience a des limites. Si nous allons au Top 16 de l'Euroligue sans faire les play-offs de la Pro A, ce serait le contraire des objectifs demandés en début de saison et il y aurait échec.
Maintenant, il sera long et difficile d'accrocher la 8e place (dernière qualificative pour le play-off).
Je ne vais pas dire que l'Elan est relégable, mais on gâche beaucoup trop de matches " .
(Source : La République des Pyrénées)
)est vraiment très impressionant et en plus c'est un joueur très sympathique mais c'est Lux qui ini et marque mais je me demande défois s'il n'a pas de la glue à ses pompes car quand il entre dans la peinture il en resort plus!!
Et on voit bien que l'equipe du week end n'a pas le meme niveau: ceux de pro A ont peur et sont craintifs contre Dijon alors que ceux qui joue l'EL n'ont pas peur du CSKA.
